LANTARA garde encor ses troupeaux et dessine…

Simon Mathurin Lantara. Bergers et troupeau au clair de lune (1750-78)

Là-bas, sous ce grand arbre, au pied d’une colline,

LANTARA garde encor ses troupeaux et dessine…

Les prés et les vallons, les bois sont pleins d’espoirs….

Il passe son enfance à regarder, à voir!…

Il sent le germe, en lui, qui doit devenir chêne!…

Il hume la forêt et boit dans son haleine

La poésie… il croit!… Ce pauvre LANTARA!

Ce fût par charité, dit-on, qu’on l’enterra!…

Extrait du poème Ebauche de la forêt de Fernand Denoyers

Simon Mathurin-Lantara, précurseur de l’école de Barbizon ?

Biographie et oeure de Simon Mathurin Lantara

https://www.rivagedeboheme.fr/pages/arts/peinture-18e-siecle/simon-mathurin-lantara.html

Voir aussi :

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :