
Gabriel Faure, né le 15 mai 1877 à Tournon-sur-Rhône (Ardèche) et mort le 5 août 1962 (à 85 ans) est un écrivain français, ami d’André Malraux.
Son nom a été donné au lycée de Tournon où Mallarmé à été nommé professeur d’anglais en 1863.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Faure

À Tournon, Mallarmé passera trois années décisives pour son évolution intellectuelle et spirituelle. C’est sous le signe du taedium vitae que commence en tout cas cet exil ardéchois pour le poète, désormais majeur et chargé d’âmes, qui découvre, avec les misères de l’enseignement, l’ennui de la vie de province et le démon de l’impuissance poétique. Les poèmes de ces premiers mois de Tournon multiplient les variations sur le spleen et l’idéal baudelairiens, mais La Genèse d’un poème d’Edgar Poe lui révèle en même temps que la poésie n’est pas seulement l’aveu d’un idéalisme absolu, mais aussi un travail sur le vers en vue de l’effet à produire.
https://republique-des-lettres.com/mallarme-9782824900698.php
Colloque international Mallarmé à Tournon et au-delà. Association de Sauvegarde du Patrimoine du Lycée Gabriel Faure http://www.patrimoinelyceegfaure.fr/activites/exposition-colloque-journee/colloque-international-mallarme-a-tournon-et-au-dela/

Mallarmé à Tournon (Ardèche) 1863-1866
Ayant passé une année à Londres, (où, après la mort de son père, le 12 avril 1863, il se marie, le 10 août 1863, avec Maria Gerhard), Stéphane Mallarmé obtient de justesse un certificat d’aptitude pour l’enseignement de l’anglais le 17 septembre 1863 et il est nommé chargé de cours d’anglais au Lycée impérial de Tournon sur Rhône (Ardèche) le 3 novembre 1863. Stéphane Mallarmé et Marie passent d’abord quelques semaines à l’hôtel puis, en décembre 1863, s’installent, très près du lycée, dans une maison qui fait l’angle du 6 rue de l’Ile et du 19 rue de Bourbon, actuellement rue Joseph Parnin à Tournon-sur-Rhône.
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Stéphane Mallarmé habita de 1867 à 1871 Avignon où il fut professeur d’anglais. C’est durant cette période qu’il écrivit ce texte pour le moins étrange et énigmatique intitulé IGITUR. Il s’agit d’un conte fantastique et philosophique dont les personnages, outre le héros éponyme, s’appellent le Rêve, l’Idée, le Hasard, l’Absolu, l’Infini, l’Acte, le Néant. https://cousumain.wordpress.com/2009/02/14/mallarme-avignon-et-igitur/

L’enfance de Geneviève à Tournon
Voir aussi :