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Annette von Droste-Hülshoff (* 12. Januar 1797, nach anderen Quellen 10. Januar 1797 auf Burg Hülshoff bei Münster als Anna Elisabeth Franzisca Adolphina Wilhelmina Ludovica Freiin von Droste zu Hülshoff; † 24. Mai 1848 auf der Burg Meersburg in Meersburg) war eine deutsche Schriftstellerin und Komponistin. Sie gehört zu den bedeutendsten deutschsprachigen Dichtern des 19. Jahrhunderts.
https://de.wikipedia.org/wiki/Annette_von_Droste-H%C3%BClshoff
Werke
Der erste Gedichtband von Annette von Droste-Hülshoff

Am 11. August 1838 erschien der erste Gedichtband der 41-jährigen Dichterin Annette von Droste-Hülshoff (1797–1848) unter dem Halbpseudonym « Annette Elisabeth v. D.… H…. » in der Aschendorff’schen Buchhandlung zu Münster. Von den 400 gedruckten Exemplaren wurden zu Lebzeiten der Dichterin nur 74 Exemplare verkauft. Vor allem von der Familie und in Adelskreisen wurde das Bändchen abgelehnt, denn für ein adeliges Fräulein war das Publizieren unschicklich.
Bereits als Kind besaß sie großes dichterisches Talent. Der münsterische Literat Friedrich Raßmann bat die zwölfjährige Annette um einen Beitrag für den ersten Jahrgang seines poetischen Taschenbuchs. Die Motive für ihre Dichtkunst fand die Dichterin in ihrer westfälischen Heimat. Sie war eine wache Beobachterin und erfasste Natur und Menschen mit scharfem und humorvollem Blick. 1842 wurde ihre Novelle « Die Judenbuche » veröffentlicht, die ihr erstmals große Beachtung in literarischen Kreisen brachte. 1844 erschien ein umfangreicher Gedichtband, der ebenfalls ein Erfolg wurde.
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Biographie

Annette von Droste-Hülshoff, de son nom complet Anna Elisabeth Franziska Adolphine Wilhelmine Louise Maria, baronne von Droste zu Hülshoff, née le 10 janvier 1797 au château Hülshoff en Westphalie et morte le 25 mai 1848 à Meersburg au bord du lac de Constance, est l’une des écrivaines et compositrices allemandes les plus importantes du XIXe siècle.
Seconde de quatre enfants, Annette von Droste-Hülshoff (de) a une sœur aînée, Maria Anna (1795-1859) qui épouse Joseph von Lassberg et deux jeunes frères, Werner Konstantin (de) (1798-1867) et Ferdinand (1800-1829). Née prématurée d’un mois, elle ne doit sa survie qu’à l’intervention d’une infirmière ; elle sera cependant affligée toute sa vie durant de problèmes de santé, y compris des migraines et des problèmes de vue. Son père, Clemens-August II von Droste zu Hülstoff (de) (1760-1826), est un intellectuel féru d’histoire, langues, ornithologie, botanique, musique et de phénomènes surnaturels. Sa mère Therese-Louise (1772-1853) vient pour sa part d’une autre grande famille westphalienne, les barons von Haxthausen (de).
En 1825, un an avant la mort de son père, elle entreprit son premier grand voyage le long du Rhin à Cologne, à Bonn et à Coblence où elle se rendit plusieurs fois jusqu’en 1842 et où vivait son cousin Clemens-August von Droste zu Hülshoff (de). Elle se lia d’amitié avec Sibylle Mertens-Schaafhausen (de). C’est également à Bonn qu’elle rencontra August-Wilhelm Schlegel ainsi que Johanna et Adele Schopenhauer et Ottilie, la belle-fille de Goethe, qui comptaient parmi ses amis. Elle était amie avec Levin Schücking et lui procura une place de bibliothécaire au château de Meersburg. Elle entretenait aussi une correspondance avec d’autres intellectuels de son époque comme les frères Grimm.

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Sa famille était très importante pour elle et comme elle avait des problèmes de santé, elle ne s’en éloignait jamais. Il était hors de question de rompre le lien avec sa famille ou d’essayer de gagner sa vie avec ses manuscrits. Mais elle se considérait comme poète. Sa mère l’ayant remarqué, elle soutint sa fille et envoya ses manuscrits à Christoph Bernhard Schlüter (de), ce qui fut un échec, car selon lui ce n’était pas suffisant pour être publié. Mais Annette von Droste Hülshoff était consciente de son talent et prenait son travail littéraire très au sérieux. Ses ballades devinrent célèbres, comme Der Knabe im Moor (de) (Le garçon dans les marais), ainsi que sa nouvelle Die Judenbuche (Le Hêtre aux Juifs). Son recueil de poésies, religieux et philosophique, Das geistliche Jahr (L’ Année spirituelle) est aujourd’hui encore un document très important. Pendant vingt ans elle travailla sur cette œuvre qui est aujourd’hui considérée comme biographique. C’était l’époque du déchirement humain entre la conscience éclairée et la quête religieuse. Elle trouvait de l’inspiration en rendant visite à sa sœur Jenny et son époux le baron Joseph von Lassberg (« Sepp von Eppishusen ») au lac de Constance avec sa mère. À partir de 1841, elle habita chez eux dans le château de Meersburg.
Elle s’acheta le 17 novembre 1843 une maison au milieu des vignes, près de Meersburg. Elle décéda le 24 mai 1848 dans l’après-midi d’une pneumonie. Sa tombe se situe dans le cimetière de Meersburg, près de l’ancienne chapelle.

La poétesse

I
Ainsi s’est-il en vain tourmenté,
a-t-il en vain vendu le domaine
Où sont le tilleul de son enfance
et le lit de mort de ses parents,
En vain a-t-il durant tant de jours
respiré l’air oppressant de gel,
La bride dans les mains engourdies,
quand crissent les vagues de neige –
Tant à l’aurore qu’au couchant,
Rien que pour un quignon de pain.
Le marchand sur le sol s’agenouille,
frotte les flancs brûlants du cheval,
du chevron de la poutre la lampe
fait vaciller des ombres folles ;
Dieu, il vit ! – un éclair dans ses yeux –
le cheval tremble, ses flancs frissonnent,
Puis s’étend, naseaux étirés,
ballonné dans un cri sauvage,
Et des membres tournoie la vapeur,
Lutte ultime des forces de vie.
A genoux le marchand frotte encore,
refusant d’en croire ses yeux,
Et montent dans ses paupières gonflées
les larmes amères des hommes,
il étend doucement la couverture,
sur les flancs doucement la dépose,
Fais alors glisser sa lanterne
sur les tendons étirés ;
C’en est fini, plus un souffle de vie,
Des flancs déjà s’estompe la vapeur.
Il se relève, il est debout,
homme accablé par les soucis,
Et lentement saisit son front,
l’abrite dans le creux de ses mains.
Que s’est-il passé ? et demain ?
comment pourrait-il s’en souvenir !
De la désespérance il sent
le venin couler dans son cœur,
Quoi ? que se passe t-il – i l se lève,
Un cliquetis juste à ses oreilles !
Et, adossé au poteau voisin,
soupesant impassiblement
Mors et bride du cheval mort,
un homme avec étrille et picotin,
Trapu, tel cocher qui dans la poussière
et le gel mène ses rudes membres,
Un chapeau mou dégoulinant
suspendu à sa large nuque –
Et paisibles sur le maquignon
Se posent des yeux ombrés de gris.
« Monsieur », dit-il, « vous m’inspirez pitié,
c’était là un bel animal,
Mais j’en connais un qui lui ressemble
comme deux coraux du rosaire ;
Je vous dirai le lieu, la maison,
vous l’aurez pour deux cents florins,
Je sais un patron qui pour l’avoir
donnerait la moitié de ses biens. »
Le marchand écoute et balbutie :
« Je suis un homme tout à fait ruiné. »
[…]
…………………………. (p.169/171)
●●●
[…]
Et ce n’est qu’entouré de sapins,
aiguilles bruissant à ses semelles,
Qu’il ralentit le pas, restant
prostré, et qu’il écoute – écoute –
Nul amant n’écoute ainsi le son
de la cloche invitant à l’amour,
Nul malade le pas du prêtre
qui l’absout avec la relique ;
Un délinquant peut écouter ainsi
La pendule sonner la dernière heure.
Sous le feu solaire sommeille
la forêt dans des vagues d’arômes,
Résine suintant des aiguilles comme
des cils du dormeur coulent les larmes ;
Le rocher s’incline, ivre de soleil,
les oiseaux rêvent de ramage,
Caressé par sa queue d’écureuil
dort enroulé sur lui-même,
Une vapeur blanche à chaque aiguille
Exhale la térébenthine.
Un rayon perce à travers les branches
jusqu’aux mèches de qui écoute,
Qui luisent de la sombre chevelure
telles flammèches de vers marins ;
Il se dresse et guette, et guette et se dresse,
n’entends-tu pas un grésillement ?
Un ruissellement, tels grains de sable
glissant dans les fentes du grenier ?
Si acéré, si pénétrant,
Comme affûtage de faux sur la pierre.
[…]
…………………………. (p.193)
Annette von Droste-Hülshoff (1797-1848) est considérée dans le monde germanophone comme la plus grande poétesse allemande de tous les temps. Gottfried Benn, Walter Benjamin ont dit très tôt leur admiration pour ses inventions puissantes et Johannes Bobrowski compte « Le feu des bergers » et « Dans l’herbe » parmi les dix plus beaux poèmes de la langue allemande. Paul Celan lui-même ressentait une parenté envers ce que cette écriture comporte d’âpre, de rêche, de dense et d’élémentaire. Récemment remise au goût du jour par plusieurs jeunes auteurs, Annette von Droste-Hülshoff est constamment citée en raison de la liberté audacieuse de sa prosodie et du message d’immense désolation – constamment interrompu par les souvenirs d’une vie à première vue idyllique, qu’elle transmet à travers ses étonnantes visions. Mais cette célébrité dépasse nettement le cercle des poètes et des connaisseurs : « Le garçon dans le marais » est récité depuis des générations par les élèves des écoles allemandes. De même « Le Hêtre du Juif », sa prose la plus célèbre, est souvent étudiée au collège. Enfin « La Droste », comme on l’appelle familièrement, a figuré sur des billets de banque et des timbres. Le présent recueil offre un ensemble des textes les plus denses et les plus audacieux de l’écrivain : le défi qu’ils opposent aux traducteurs en a longtemps retardé la diffusion en terre française. Ces poèmes sont tantôt marqués par des éléments d’une extrême concrétude, qui fécondent l’imagination la plus débridée, tantôt ils sont entraînés par le mouvement propre de la vie intérieur, le rêve. Dictés par une sensibilité quasi tactile au monde du vivant, ils font fréquemment appel à la botanique, à la minéralogie, à la zoologie, de même qu’ils décrivent de manière très directe les mondes rural aussi bien que préindustriel et minier, mêlant cette réalité rugueuse à des scènes spectrales volontiers situées dans la brume des marais ou dans la poix des cimetières…
http://lescarnetsdeucharis.hautetfort.com/annette-von-droste-hulshoff/
Écrits littéraires
- Poèmes. Aschendorffsche Buchhandlung, Münster 1838.
- Hospiz auf dem großen Sankt Bernhard (Epos, 1828–1833)
- Des Arztes Vermächtnis (Epos, 1834)
- Die Schlacht vom Loener Bruch A. 1623 (Epos, 1837/38)
- Der Säntis
- Am Weiher
- Der Graf von Thal
- Fragment
- Die Judenbuche. (novelle apparu dans une revue Morgenblatt für gebildete Leser.) 1842.
- Gedichte. Cotta, Stuttgart/Tübingen 1844. (numérisé et texte complet dans les archives allemandes; éditée à Liechtensteinverlag, Vaduz 1948 auf Gutenberg-DE)
- Zeitbilder (1841–1843)
- Haidebilder (1842)
- Der Knabe im Moor (ballade, 1842)
- Fels, Wald und See (1841–1843)
- Am Thurme
- Das öde Haus
- Im Moose
- Poèmes divers
- Die Taxuswand (1841)
- Das Spiegelbild (1842)
- Alten Pfarrers Woche
- Das Eselein
- Die beste Politik
- Scherz und Ernst
- Ballades (1840–1842)
- Die Vergeltung
- Die Vendetta
- Der Fundator
- Die Schwestern
- Der Tod des Erzbischofs Engelbert von Köln
- Das Fegefeuer des westfälischen Adels
- Die Stiftung Cappenbergs
- Kurt von Spiegel
- Das Fräulein von Rodenschild
- Der Spiritus des Roßtäuschers
- Mondesaufgang (poème, 1844)
- Im Grase (poème, 1844)
- Westfälische Schilderungen. (1845)
- Das geistliche Jahr. (cycle de poèmes), 1818–1820/1839–1840 (gutenberg.spiegel.de).
- Am letzten Tag des Jahres (Silvestre)
- Letzte Gaben. Nachgelassene Blätter. Édité par Levin Schücking. Rümpler; Grimpe, Hannover 1860. (Digitalisé et texte complet dans les archives allemandes; Éditée à Liechtensteinverlag, Vaduz 1948 auf Gutenberg-DE)
- Joseph. Eine Kriminalgeschichte. Fragment, écrit en 1845, publiè en 1886.
- Bei uns zu Lande auf dem Lande. (Fragment, succession), 1862.
- Briefe von Annette von Droste-Hülshoff und Philipp W..
- Winfried Woesler (Hrsg.): Historisch-kritische Ausgabe. Werke, Briefwechsel. 13 Bände in 25 Teilbänden. Niemeyer, Tübingen 1978–2000.
Réception littéraire
Sarah Kirsch parle d’Annette Droste- Hülshoff dans son poème Der Droste würde ich gerne Wasser reichen (J’aimerais bien passer de l’eau à Droste). Elle « l’enfant tardive » exprime son admiration pour sa collègue et imagine une promenade avec Annette : « nous allons gargouillant par les marais ». Elle interprète aussi la relation entre Droste- Hülshoff et Levin Schücking (« Votre Levi, nous aimons toutes les deux cet homme audacieux»).
Karen Duve publia en 2018 un roman intitulé Fräulein Nettes kurzer Sommer (« Le court été de mademoiselle Nettes »), où elle détaille l’entourage familial et le milieu des jeunes du romantisme tardif. Elle parle aussi d’Annette von Droste-Hülshoff lorsqu’elle avait 20 ans, une période marquante pour sa vie future.
Postérité
Les manuscrits de travail des œuvres de Droste Hülshoff et les copies au propre de la succession de Meersburg sont gardés et numérisés dans les archives de littérature de Westphalie, gérées par la région de Westfalen- Lippe (de) (LWL).
La fondation Annette von Droste Hülshoff a été reconnue officiellement le 28 septembre 2012. Cette fondation veut obtenir pour toujours la maison de naissance de la poétesse au château à Havixbeck pour une utilisation officielle. En dehors de cela, elle subventionne des manifestations littéraires, des expositions et des projets de recherches.
À partir de 1989, le billet de banque allemand de 20 deutschemarks comporte le portrait de Annette von Droste-Hülshoff.

La musicienne et compositrice

Ecouter ses compositions https://www.haus-stapel-konzerte.de/annette-1/
Annette n’était pas uniquement une célèbre écrivaine mais aussi une musicienne et une compositrice. Ses compositions furent longtemps mises de côté ou oubliées, pourtant sa musique et ses poèmes entretiennent des liens étroits.
Ses parents étaient sensibles à la musique et son père était lui-même un violoniste. Son oncle Maximilian-Friedrich von Droste zu Hülshoff (de) était un compositeur et ami de Joseph Haydn. Il existe dans le château des Hülshoff une collection de partitions et de matériaux musicaux qui étaient indispensables dans le cadre familial. Les enfants se familiarisaient avec la musique de l’époque car leurs parents les emmenaient souvent à des concerts et à des évènements musicaux et théâtraux. Annette prit des cours de piano à partir de 1809. On lui demandait de jouer ou d’accompagner les autres au piano et ainsi elle perfectionna son talent au fur et à mesure. Sa mère Thérèse écrivait en 1812 que sa fille « s’était lancée dans la composition avec toute la vivacité de son caractère ».
Elle donna son premier concert de chant en public en 1820 à Höxter mais ce n’est que plus tard entre 1824 et 1831 qu’elle reçut des cours de chant. Elle donnait des cours de chant et de piano à d’autres membres de sa famille. On disait que sa voix avait « un bon timbre» mais qu’elle était «souvent trop forte et perçante.» «Mais elle descend dans les graves, et c’est là qu’elle est la plus agréable ». À Cologne, on disait que sa voix était plus belle que celle d’Angelica Catalani (1780-1849), une des meilleurs sopranos de l’époque. Grâce à son étude des musiques et des compositions contemporaines, elle commença à composer. Elle réalisa des livrets et des musiques plus ou moins aboutis pour quatre projets d’opéra. En 1836, pendant un séjour à Eppishausen, on lui fit découvrir le livre de chants de Lochamer (en) et on l’incita à le retravailler pour le chant et le piano. Elle composa en tout 74 lieder qui se référaient aux préceptes des écoles de lieder de cette époque.
Elle était en contact avec Clara et Robert Schumann par correspondance : Clara la célèbre pianiste demanda à Annette un livret pour que son mari puisse le transposer en musique. Il avait déjà mis en musique un poème d’Annette, Das Hirtenfeuer, op.59 (Le feu des bergers) qu’il aimait beaucoup et qui parut en 1844 dans un recueil de poèmes. Annette ne jouait jamais ses propres œuvres publiquement. Ce n’est qu’en 1877 qu’elle fut découverte en tant que compositrice, quand Christoph Bernhard Schlüter (de) (1801-1884) publia quelques-unes de ses œuvres : Lieder mit Pianoforte- Begleitung Componiert von Annette von Droste-Hülshoff (lieder avec accompagnement au piano forte, composés par Annette von Droste-Hülshoff). Dans son éloge funèbre, il fit ressortir son « grand talent pour le chant et la musique » et disait aussi qu’elle avait « un don très rare » de « traduire la poésie en musique et la musique en poésie ». Ce ne fut qu’à partir du XXe siècle qu’on étudia vraiment sa musique.
Annette von Droste- Hülshoff possédait un talent musical exigeant, ce qui conduisait à un conflit avec ses ambitions littéraires : «… écrire des textes d’opéras est quelque chose de trop misérable et artisanal. » Finalement elle s’est décidée pour la poésie, et la musique est restée en arrière-plan. Ses œuvres posthumes se trouvent aujourd’hui à la bibliothèque de l’Université de Münster.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Annette_von_Droste-H%C3%BClshoff
Tourisme à Langenargen

» Langenargen ist nur mit den schönsten Ansichten bei Genua und Neapel vergleichbar. »
– Annette Droste-Hülshoff (1797–1848); Granittafel am ehemaligen Langenargener Zollhaus.
***
« Langenargen ne peut être comparée qu’aux plus belles vues de Gênes et de Naples. »
– Annette Droste-Hülshoff (1797–1848) ; Plaque de granit à l’ancienne douane de Langenargener.
Annette von Droste-Hülshoff est considérée comme la « découvreuse » de Langenargen pour le tourisme, et elle a immortalisé sa visite en 1842 dans la littérature : « Ne manquez pas Langenargen. »
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