A la Noël 1868, Geneviève réclame la venue du grand ami, Henri Cazalis : « Vève veut que tu viennes de suite voir son arbre de Noël encore chargé des bonbons qu’elle guigne. » Puis, le 7 janvier 1869 : « Vève a reçu tes charmantes babouches, la pauvrette en raffole mais attend, pour en fouler le tapis, la fin d’une indisposition qui la tient au lit. » Il avait envoyé aussi un livre de contres en Allemand. Cazalis parlait l’allemand, le petit recueil portait une dédicace : » A la petite Marie, mère de Geneviève et à la petite Geneviève née de Marie, son beau-frère et oncle, Henri Cazalis – poète, avocat, médecin et frère de Stéphane le Couronné.

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