
mine de plomb sur papier, 1894, Mairie de Bois-le-Roi. Photo Jean Philippe Guibert
L’influence du cercle des poètes et écrivains qui entouraient le père de George Moreau de Tours est aussi apparent dans plusieurs œuvres au thème littéraire, tel Faust et Marguerite de Goethe, ou Henrich Heine et la Muse de la Poésie, 1894. Une esquisse du portrait du poète à été offerte par Georges Moreau de Tours au maire de Bois-le-Roi, Monsieur Louis Létang, un écrivain qui exerça la fonction de maire de 1892 à 1908, avec la dédicace : « À Monsieur Létang Maire de Bois le Roy Hommage de l’auteur G. Moreau de Tours ». Cette esquisse se trouve à la Mairie de Bois-le-Roi.
Christian Johann Heinrich Heine né le 13 décembre 1797 à Düsseldorf, dans le Duché de Berg, sous le nom de Harry Heine et mort le 17 février 1856 à Paris (8e arrondissement), sous le nom de Henri Heine, est un écrivain allemand du XIXe siècle.
Heine est considéré comme le « dernier poète du romantisme » et, tout à la fois, comme celui qui en vint à bout. Il éleva le langage courant au rang de langage poétique, la rubrique culturelle et le récit de voyage au rang de genre artistique et conféra à la littérature allemande une élégante légèreté jusqu’alors inconnue. Peu d’œuvres de poètes de langue allemande ont été aussi souvent traduites et mises en musique que les siennes. Journaliste critique et politiquement engagé, essayiste, satiriste et polémiste, Heine fut aussi admiré que redouté. Ses origines juives ainsi que ses choix politiques lui valurent hostilité et ostracisme. Ce rôle de marginal marqua sa vie, ses écrits et l’histoire mouvementée de la réception de son œuvre.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_Heine
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