https://artetculturefontainebleau.fr/2025/01/02/salon-de-1859-limagination-iii-la-reine-des-falcultes/
Si Dieu, créateur du ciel et de la terre, du monde visible et invisible, a créé l’homme à son image alors c’est notre potentiel créatif lui-même qui est à son image.
- Libérez votre créativité. Osez dire oui la vie!
- “Un monde meilleur commence par l’imagination » M. Yunus
- Art et Culture pour un monde meilleur
- Voir aussi
Libérez votre créativité. Osez dire oui la vie!
Donnez-vous enfin la permission d’exister et de créer.
Avez-vous renoncé à vos rêves d’enfant et d’adolescent ? Vous laissez-vous influencer par vos peurs et votre raison ?
Pour Julia Cameron, plus l’écart se creuse entre notre Moi créateur et notre Moi rationnel, plus notre goût de vivre s’émousse.
En levant nos blocages, nos mauvaises habitudes et nos inhibitions, on libère une vitalité et une créativité inestimables. Grâce à un programme en douze semaines et de nombreux exercices, Libérez votre créativité montre le chemin de l’élan créateur et libérateur.
Un livre précieux pour devenir enfin la personne que vous avez toujours rêvé d’être. https://www.babelio.com/livres/Cameron-Liberez-votre-creativite/130198
Être croyant et créatif
C.GOMBERT 03.07.2022 https://www.eelparis.org/blog/57-tre-croyant-et-creatif
« AU COMMENCEMENT, DIEU CRÉA »
Voilà ce qu’on lit dans la Genèse, au verset 1 du chapitre 1 : « Au commencement, Dieu créa ».
Le Dieu de la Bible est un créateur, un inventeur. Il prend plaisir à imaginer et à concrétiser des choses nouvelles.
C’est lui qui a inventé les couleurs de notre monde, ses silhouettes, ses galaxies, qui a voulu que le mimosa soit jaune et le ciel bleu (sauf ici, en Irlande, où je me trouve en ce moment – mais c’est une histoire pour un autre article).
C’est aussi lui qui a imaginé l’humour, la poésie, la beauté, le plaisir d’un bon plat ou d’une musique émouvante.
Et dans tout cela, il a voulu vous créer, vous.
« DIEU CRÉA L’HOMME À SON IMAGE »
Un peu plus loin dans le chapitre 1 de la Genèse, on lit : « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. »
Être « à l’image de Dieu » ne signifie pas que nous soyons des « petits dieux », mais que Dieu a décidé de nous transmettre certaines de ses caractéristiques.
Dont, en particulier, la faculté et l’envie de créer.
Vous avez déjà ressenti l’élan d’écrire une phrase ou un début d’histoire qui vous est venu en tête ?
De composer ou jouer de la musique ?
De créer chez vous un espace décoré à votre goût, un jardin agréable ?
Ou, face à un paysage sublime, d’en faire une photographie ou un tableau ?
Ou encore de lancer un podcast, monter une entreprise, inventer une recette, réparer un objet ancien, fonder une famille, un collectif d’entraide, une association… ?
NOUS SOMMES CRÉES POUR CRÉER
Cela fait partie de notre vocation en tant qu’être humain.
Ce n’est pas réservé aux grands artistes, ou aux entrepreneurs de génie. Quand vous ressentez du plaisir à créer des choses nouvelles, qu’elles soient utiles ou simplement belles, vous reflétez le caractère de Dieu.
TOUTES NOS CRÉATIONS NE VIENNENT PAS DE DIEU
Malheureusement, notre vocation créatrice (comme tout le reste) est abîmée par nos rébellions puériles, dévoyée par nos élans égoïstes.
D’abord parce que nous pouvons créer des choses néfastes, destructrices ou blessantes.
Ensuite, parce que nous créons souvent pour notre propre gloire.
En tant qu’autrice de fiction, je constate cette dualité au quotidien.
Je sais que ma vocation d’écrivaine me vient de Dieu et qu’elle existe pour le glorifier. Pourtant, dès que je crée, d’autres préoccupations s’immiscent dans le processus : l’envie d’écrire pour être reconnue ou recevoir des éloges, la peur d’être rejetée par le milieu littéraire si j’affirme ma foi dans et autour de mon œuvre, la tentation d’introduire des idées éloignées de mes convictions pour me conformer à certaines attentes…
Mais je sais que je peux me tourner vers Dieu pour lui demander de m’aider à créer des textes sincères. Sans hypocrisie. Sans intention de briller aux yeux des autres, mais seulement d’accomplir la vocation à laquelle il m’appelle.
Et vous savez quoi ? Quand je me replace dans cette optique… j’écris beaucoup mieux.
ENVIE DE CREUSER VOTRE CRÉATIVITÉ ?
Si vous lisez l’anglais, je vous conseille le livre Called to create (Appelé à créer), de Jordan Raynor : https://www.calledtocreate.org/
Si vous vous interrogez sur votre vocation créative, ou si vous vous demandez comment mettre votre créativité au service de Dieu, je suis sûre que ce livre vous donnera matière à penser.
Chris Vuklisevic
Note complémentaire : pour en savoir plus sur les créations de Christelle Gombert, relisez l’Ostraca d’octobre 2021 qui se fait l’écho de son 1er roman : » Derniers Jours d’un Monde oublié ». Il a reçu le premier prix du concours organisé par la collection SF des éditions Folio à l’occasion de ses vingt ans. Une bonne idée de lecture pour cet été …
https://www.eelparis.org/blog/57-tre-croyant-et-creatif
“Un monde meilleur commence par l’imagination » M. Yunus
M. Yunus, prix Nobel de la paix en 2008.
Muhammad Yunus appelle les jeunes Taiwanais à faire preuve d’imagination pour construire un monde meilleur.
En visite à Taiwan du 11 au 14 avril, Muhammad Yunus, prix Nobel de la paix en 2006, a appelé les jeunes Taiwanais à mettre leur imagination au service d’un monde meilleur. Celui qui est connu dans le monde entier comme le banquier des pauvres grâce à son utilisation du micro-crédit, était invité à Taipei à s’exprimer dans différents forums, dont une conversation publique avec Lin Hwai-min [林懷民], fondateur de la troupe de danse, Cloud Gate. Avec les possibilités offertes par les nouvelles technologies, a expliqué Muhammad Yunus au Forum organisé par l’Association chinoise pour la transformation des entreprises, l’innovation et le progrès, la jeune génération n’a jamais été aussi puissante dans l’histoire humaine et dispose des moyens de créer le monde qu’elle désire. Le fondateur de la Banque Grameen a ainsi encouragé les jeunes à utiliser cet avantage pour trouver des solutions aux problèmes de l’humanité tels que la pauvreté et le chômage. Il les a aussi appelé à écrire des « romans sociaux » imaginant des sociétés dans lesquelles les problèmes actuels n’existeraient pas. « Si vous l’imaginez, la réalité suivra », a-t-il déclaré au Centre international des conventions de Taipei où avait lieu le forum. Evoquant le préoccupant problème du chômage dans le monde, Muhammad Yunus a appelé les jeunes à devenir des « créateurs d’emplois », plutôt que d’être des « suiveurs ». « Soyez des entrepreneurs », a-t-il lancé à ceux qui luttent pour trouver un emploi. https://taiwaninfo.nat.gov.tw/International/57334/Muhammad-Yunus-appelle-les-jeunes-Taiwanais-%C3%A0-faire-preuve-d%E2%80%99imagination
Faire une liste de souhaits
Considérant que l’école et l’université n’apprend pas aux étudiants à imaginer le type de monde dans lequel ils aimeraient vivre, et son privés ainsi, à la base de cette capacité à imaginer unmonde meilleur, Muhammad Yunus propose que les professeurs demande à leurs élèves de dresser une liste deleurs « souhaits pour un monde meilleur » afin de les aider, à partit de là à la réaliser. Voir le café des souhaits
Eliminer la pauvreté
La pauvreté existe parce que notre conception du monde repose sur des hypothèses qui sous-estiment les capacités humaines. Nous avons élaboré des conceptions trop restreintes : notre conception de l’entreprise (qui fait de la recherche du profit la seule motivation humaine), notre conception de la solvabilité (qui prive automatiquement les pauvres de l’accès au crédit), notre conception de l’entrepreneuriat (qui ignore la créativité de la majorité des gens) et notre conception de l’emploi (qui fait des êtres humains des réceptacles passifs au lieu de voir en eux des créateurs actifs). Et nous avons développé des institutions qui sont au mieux à moitié achevées, tels nos systèmes bancaires et économiques qui ignorent la moitié du monde. Nos insuffisances intellectuelles sont les principales responsables de la pauvreté.
Muhammad Yunus
Le social business
Le social business est une nouvelle forme d’économie qui repose à la fois sur des valeurs, une volonté d’agir pour les mettre en application et une logique économique solide. Apparue dans les années 1990, elle est définie par le prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus comme une entreprise :
- créée et conçue pour répondre à un problème social ciblé
- produisant ni perte ni dividende: l’entreprise doit être financièrement autonome (ne pas dépendre de subventions ou donations). De plus, les profits sont réinvestis pour répondre au problème social.
En savoir plus https://fr.wikipedia.org/wiki/Social_business
Le microcrédit
Le microcrédit consiste en l’attribution de prêts de faible montant à des entrepreneurs ou à des artisans qui ne peuvent pas accéder aux prêts bancaires classiques. Le microcrédit se développe surtout dans les pays en développement, où il permet de concrétiser des microprojets, favorisant l’activité et la création de richesses, mais se pratique aussi bien dans les pays développés ou en transition. Il est une composante de l’inclusion financière.
Le microcrédit s’inscrit dans une sphère plus complète qui comprend d’autres outils financiers, tels que l’épargne, la micro-assurance et d’autres produits qui forment la microfinance. Le 13 octobre 2006, la mise en place et le développement à grande échelle de ce système ont été récompensés par le prix Nobel de la paix attribué conjointement au Bangladais Muhammad Yunus et à la banque qu’il a créée, la Grameen Bank.
Les Nations unies ont décrété 2005 l’Année internationale du microcrédit.
En savoir plus https://fr.wikipedia.org/wiki/Microcr%C3%A9dit
Découvrez le microcrédit social du Secours Catholique
L’essentiel en quelques mots
Un micro crédit social permet à des personnes en difficultés financières de réaliser un projet personnel ou professionnel et ainsi se réinsérer dans la société. Plusieurs associations et institutions publiques proposent ce type d’aide financière.
C’est notamment le cas du Secours Catholique dont le microcrédit vient soutenir les personnes précaires.
- Le miniprêt social de l’association sert essentiellement à trouver un emploi stable.
- Pour le Secours Catholique, retrouver une activité professionnelle est la meilleure solution pour devenir autonome.
- Le minicrédit peut ainsi être utilisé pour financer une formation, acheter un véhicule ou des équipements afin de débuter une petite entreprise.
- L’association dispose de partenariats avec différentes banques pour proposer des conditions d’emprunt avantageuses.
- Chaque candidat emprunteur est accompagné dans ses démarches par un bénévole référent.
- Le bénéficiaire de l’aide dispose d’un droit de rétractation de quatorze jours pendant lesquels il peut décider de rompre son contrat de mini emprunt.
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