
Les violons imitent le bruit du vent,
le glockenspiel celui des elfes dansants,
la harpe celui de la lune. Car de mémoire de compositeur, à la harpe, toujours, qu’elle soit de Lyon ou à pédales, fut dévolu le soin d’évoquer les rayons de la la lune.
Poème de Sidonie-Gabrielle Colette, « le concert »
Peinture : Félix Vallotton « Clair de lune »
Musique : F. Liszt / Alabieff « Le Rossignol »
Choix de correspondances entre poésie, peinture et musique par Bénédicte Rostaing
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