Épisode 3 : La Tour d’Amour de Samois-sur-Seine – Le Phare Mondial des Âmes (15 août 2025)

  1. Épisode 3 – La Tour d’Amour de Samois-sur-Seine – Le Phare Mondial des Âmes
  2. Vie-King PoëtiK Balade : Flamme de Kenaz aux Plâtreries, les Nouveaux Vikings passent chez Mallarmé (15–22 août 2025)
Épisode 3 – La Tour d’Amour de Samois-sur-Seine – Le Phare Mondial des Âmes

Sous un ciel clair de Samois-sur-Seine, le Rocher de Samois s’élevait, couronné par la Tour d’Amour, silhouette dégradée mais vibrante, érigée en 1879 par Isidore Hébert, sculpteur sur bois. Dans la forêt de Fontainebleau, les pierres druidiques, anciens autels, murmuraient un passé où Aine, déesse celte de l’amour, dansait, tandis que l’arbre de vie du blason de Samois évoquait une transcendance cosmique. Les grands esprits de la forêt, Cernunnos, dieu celtique des cycles naturels, et Vidar, dieu nordique du silence résilient, veillaient sur le petit peuple de la forêt : sídhe gracieuses, korrigans malicieux, álfar lumineux, et landvættir protecteurs, frémissant dans les feuillages. Ce lieu, interdit d’accès depuis 2002, vibrait d’une aura chevaleresque, comme un phare des âmes, appelant à une restauration communautaire, écho aux voix sur X réclamant la renaissance de ces symboles oubliés.Sigurd Le Nouveau Trouvère, mandoline, bodhrán, et flûte à bec en bandoulière, invoqua l’AWEN, le grand souffle de l’inspiration poétique, face à la tour. Il déclama, inspiré par Teilhard de Chardin : « Ce ‘second feu’ de l’amour, sous les bons hospices de la planète Vénus, rallumera un jour notre Fête du Paradis en pays de Fontainebleau, ici même. » Astrid, poétesse des sagas nordiques, répondit avec un kenning : « L’amour, flamme d’Aine et Freyja, tisse le fil des étoiles. » Elle ajouta, un éclat dans les yeux : « Comme les Vikings naviguaient jusqu’à Kiev, l’Espagne, ou l’Asie centrale, ainsi notre Nouvelle Route des Vikings relie les âmes, d’après les runestones et études ADN partagées sur X. »

Sigurd s’assit sur le banc de pierre au pied de la tour et partagea une réflexion : « Chez les Vikings, Nauthiz, la nécessité, imposait la solidarité : dans les fjords, le don réciproque (Gebo) scellait l’amour clanique, offert à Freyja, déesse de la passion. L’agapè chrétienne, don sans retour, comme le manteau partagé de saint Martin, l’a sublimé en transcendance. » Astrid ajouta : « Le repli sur soi, fruit pourri des sociétés riches, brise ces liens. L’abondance matérielle engendre l’individualisme, mais la Tour d’Amour, ce phare des âmes, nous appelle à raviver l’amour communautaire, le souci de l’autre et le sens de l’interdépendance. » Sigurd joua une mélodie extrêmement douce et tendre sur sa flûte à bec en bois de poirier, ses notes pures évoquant ce rapprochement profond entre le paganisme et le christianisme, des siècles après s’être opposés, souvent violemment, au nom de la seule réalité universelle qui pouvait – et qui aurait dû – les rapprocher, l’Amour avec un grand A, cette « force qui fait se mouvoir les planètes et les étoiles », disait le grand poète florentin Dante dans le dernier vers de sa Divine Comédie. C’est ainsi cette synthèse pagano-chrétienne – et plus particulièrement par la voie des Vikings chrétiens d’hier et d’aujourd’hui – qu’il tentait de faire émerger au XXIe siècle : la réciprocité des blóts et la gratuité de l’agapè. Une femme de Bois-le-Roi, émue, offrit une plume peinte : « Pour ta quête, qu’elle vole jusqu’au ciel ! » Sigurd répondit d’un sourire, scellant Gebo.

Face à la tour, Sigurd invita à un récital poétique des quatrains de la Tour d’Amour, où l’amour transcendant unissait tous les règnes, minéral, végétal, esprits de la nature, humains, divinités et le Père céleste, créateur de tout l’univers visible et invisible. Il prit sa mandoline, jouant une mélodie inspirée, et déclama ses quatrains de la Tour d’Amour, sous l’égide d’Aine, Freyja, et des grands esprits Cernunnos et Vidar, tandis que le petit peuple – sídhe, korrigans, álfar, landvættir – semblait danser autour de la tour dans un souffle d’AWEN :

La Dame, du haut de sa tour

La Dame, du haut de sa tour,
D’un regard embrase la cour;
Aux premières lueurs du jour
Brûle au cœur la Flamme d’Amour.

Saisir la mandoline

Au pied de la Tour d’Amour,
Enjeu de désir incline
Mon âme, bonheur-du-jour,
A saisir la mandoline.

Amour Vrai jamais ne s’essouffle

Se laisser ranimer du souffle
Discontinu puis continu
D’aventures, de rêves à nu,
Amour Vrai jamais ne s’essouffle.

Cordes à vide

Quatre murs et quatre faces

 QUATRE FACES (2009) sculpture de ROSARIO
https://www.artmajeur.com/…/artworks/4312021/quatre-faces

Quatrain de la Tour Carrée,

Quatre murs et quatre faces

En son coeur doute s’efface _

Renaît l’âme enamourée.


Pour conclure, Sigurd offrit un nouveau quatrain scaldique, où l’amour transcendant d’Aine et Freyja fusionnait avec la lumière de la planète Vénus :


Brasier d’Aine, cœur en flamme vive,
Freyja tresse l’astre d’amour qui rive,
Vénus éclaire Yggdrasil qui s’élève,
Mer d’amour jaillit, jamais ne s’achève.

Pour conclure, Sigurd offrit un nouveau quatrain scaldique, où l’amour transcendant d’Aine et Freyja fusionnait avec la lumière de la planète Vénus :

Brasier d’Aine, cœur en flamme vive,
Freyja tresse l’astre d’amour qui rive,
Vénus éclaire Yggdrasil qui s’élève,
Mer d’amour jaillit, jamais ne s’achève.

Astrid enchaîna avec une saga nordique, narrant l’union des amants sous Freyja, tandis qu’Aine inspirait les poètes, et le petit peuple dansait dans l’ombre des chênes. Le groupe invoqua Uruz (ᚢ) pour la force intérieure, rythmé par un battement léger du bodhrán. Fehu (ᚠ), richesse spirituelle, s’éveilla, unissant païens, chrétiens, et esprits de la forêt dans une quête universelle d’amour. La communauté traça une spirale collective dans la terre, près des pierres druidiques, écho des voyages vikings vers la Russie, l’Inde, ou Syros, comme le racontent les sagas modernes sur X.

Près d’une pierre druidique, Sigurd proposa une offrande symbolique à la Tour d’Amour, en lieu et place d’un festin. Astrid déposa une couronne de lierre tressée, symbole de l’arbre de vie, murmurant : « À Aine, Freyja, Cernunnos et Vidar, pour l’amour éternel entre tous les règnes de la création. » Le petit peuple – sídhe, korrigans, álfar, landvættir – sembla frémir dans le vent, bénissant ce geste. Un enfant sculpta un cœur sur une écorce, l’offrant à Sigurd : « Pour la tour, qu’elle revive ! » Sigurd répondit par une note claire sur sa flûte à bec, scellant Gebo. Erik Gauthier, marqué par Nauthiz, s’approcha, sa canne à pêche à la main. « Mon père norvégien parlait de Freyja… et sur X, des études ADN montrent les Vikings comme des explorateurs globaux hautement civilisés – la subtilité profonde de la poésie scaldique en témoigne – reliant les peuples et les cultures. Peut-être avais-tu raison, Sigurd, » murmura-t-il, son cœur viking s’ouvrant peu à peu. La vieille femme, Norne silencieuse, lui glissa : « Erik, l’amour est le second feu de Teilhard. Laisse le naître et grandir en toi. »

Sous le ciel de Samois, Astrid chanta un dernier kenning : « Nauthiz pèse, l’amour appelle, Uruz forge, Gebo tisse, Fehu brille. » Sigurd, sur sa mandoline, scanda un poème : « L’homme ne vit pas seulement de pain, mais essentiellement de l’Amour qui nous mène au-delà de nous-mêmes, au-delà de cette vie passagère. » La communauté des Nouveaux Vikings, toutes oppositions religieuses abolies, s’engagea à réhabiliter la Tour d’Amour, en écho à la mairie de Samois qui, sans elle, jamais n’engagerait le moindre centime pour cela. Sigurd promit : « La Fête du Paradis, un jour, fera de ce lieu un phare des âmes pour la région de Fontainebleau et le monde, de Samois à Skagen, Reichenau et Syros, comme les Norsemen connectaient civilisations. » La Superbe Vie-King Attitude s’épanouissait, invitant chacun, par sa force irrésistible, à reprendre son chemin le long de la Seine, là-bas vers le Bas-Samois, puis les Plâtreries.

Astrid, ses tresses ornées d’ambre, s’agenouilla près de la spirale tracée dans la terre. Elle sortit un sac de cuir usé, orné de runes, et murmura : « Sequana, Freyja, guidez mon souffle. Que l’AWEN révèle la voie. » Ses doigts effleurèrent les pierres runiques, et elle tira Kenaz (ᚲ), le flambeau de l’ouverture. « Kenaz, le feu de la connaissance, le phare qui éclaire les âmes ! » s’exclama-t-elle, levant la rune vers la Tour d’Amour. « Kenaz nous appelle à ouvrir nos cœurs au monde, de Samois à Skagen, de Reichenau à Syros, comme les Vikings illuminaient les routes maritimes et fluviales. » Sigurd frappa dans son bodhrán en scandant : « Kenaz nous guide vers la prochaine étape, le long de la Seine, où l’amour et la poésie s’entrelacent. » Le groupe, uni par l’AWEN, sentit la promesse d’une odyssée nouvelle, portée par la lumière de ce feu sacré.

Vie-King PoëtiK Balade : Flamme de Kenaz aux Plâtreries, les Nouveaux Vikings passent chez Mallarmé (15–22 août 2025)

Sous un ciel d’azur qui scintillant, le 15 août 2025, les Nouveaux Vikings se réunirent au Bas-Samois, où les péniches, échos des drakkars, glissaient sur la Seine. Astrid, les tresses ornées d’ambre, brandissa la rune Kenaz (ᚲ) qu’elle avait tirée à la Tour d’Amour. « Kenaz, flambeau de l’AWEN, ouvre nos âmes aux vérités cachées, comme les scaldes illuminent les sagas », proclama-t-elle. Sigurd joua une mélodie tendre à la mandoline et lança un kenning : « Fleuve des flammes vives, la Seine scintille de la flamme de Kenaz. » Les enfants agitaient leurs drakkars de carton, et le groupe s’élança, guidé par l’éclat de Vénus.

Le 18 août, sous un saule qui bordait la Seine, sur le chemin des Plâtreries de l’autre côté de Valvins, Sigurd rencontra Michaël Vinson, un poète-chercheur mallarméen marginal. « Les kennings scaldiques, comme ‘jeu des épées’ pour la bataille, sont des énigmes mythiques », expliqua Michaël. « Ils préfigurent le symbolisme de Mallarmé, qui, dans ‘L’Azur’, évoque l’invisible par des images complexes. Les sagas nordiques, lues à Paris au XIXe siècle, influencent son désir d’absolu. Comme il l’écrit, le Nord marque les ‘chevelures’ et les ‘yeux’, mais s’infiltre dans le livre, objet fermé. » Astrid ajouta : « Kenaz, rune de l’Ouverture, unit ces flammes poétiques dans l’AWEN. » Un enfant demanda : « C’est quoi, l’azur ? » Michaël sourit : « L’éternité, petit, que les scaldes et Mallarmé ont cherché dans le chant poétique. »

Le 21 août, devant la grille de la maison appelée Ruissel sous Bois aux Plâtreries, une jeune femme, admiratrice de Léonie d’Aunet, apparut, ses yeux pétillant de rêves de grands voyages. « Léonie, exploratrice du Spitzberg, amante de Hugo, incarne la passion de Freyja », dit-elle. « Je veux suivre ses traces, naviguer vers le Nord. » Sigurd, ému, la proclama première Nouvelle Viking Exploratrice du FVV. Un enfant offrit une branche spiralée, qu’il posa près de la coquille et de la pierre runique. « Pour Léonie, pour Kenaz ! » s’écria-t-il. Astrid murmura : « Son feu éclaire notre route, comme les Vikings vers Kiev et Constantinople » Erik Gauthier, sa canne à pêche posée, intervint : « Sur X, je lis que Léonie a vécu l’esprit viking. Mon père norvégien aurait aimé ça. » Sigurd sourit : « Kenaz ouvre et allume ton esprit, Erik. Rejoins le Grand Rêve. »

Le 22 août, aux Plâtreries, la Seine scintillait sous Vénus. Le groupe célébra Kenaz dans un rituel. Astrid chanta un poème scaldique :

Kenaz s’embrase, la Seine s’illumine,
Freyja tisse l’amour, l’âme s’achemine.
Léonie chante, flambeau des mers,
Mallarmé rêve, l’azur s’éclaire.
Sequana guide, l’AWEN s’élève,
Péniches glissent, la Nouvelle Route s’éveille.
Uruz soutient, Fehu scintille,
Kenaz révèle, le cœur s’éveille.
Des Plâtreries à Thomery et Saint-Mammès,
Le Grand Rêve unit, jamais ne périt.

Une couronne de roseaux fut offerte à la Seine. Erik traça une rune dans le sable, son cœur viking s’ouvrant davantage. Les landvættir frémirent dans les roseaux, bénissant cette balade. Sigurd promit : « Kenaz nous guide vers Thomery, où la Route des Vins rend le monde prospère, et Saint-Mammès, grand carrefour viking de toutes les aspirations. »

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