Vie-King PoëtiK Balade. Eté 2023

Ne rien jeter de ce qui a été pensé, imaginé, créé. Embarquement immédiat à la place du village de Bois-le-Roi, la Grande Aventure Imaginative du XXIe siècle commence ici (Bois-le-Roi) et maintenant (Eté 2023), vaisseau lumineux au cœur de ce monde sombre qui sombre et qui nous relie au Fil Subtil de la Vie-King.

Ou la balade du K <

  1. Ou la balade du K <
  2. Sur la rive droite de Bois-le-Roi
    1. La mer… là-bas.
    2. Vikings en Poésie
  3. De Storvik à Bois-le-Roi
    1. Åsa Larsson
    2. En passant par les Forêts d’Europe
    3. Peintres de Skagen
    4. Die Bremer Stadtmusikanten
  4. Vie-King PoëtiK Balade du K <
    1. M – I – K – L vous souhaite la bienvenue sur le chemin du K <
  5. #Love PoetiK #Drakkar : Prédiction sur la #Seine par temps de pluie
    1. #synchronicité à la #boitealivre du #carrefourmarket de #chartrettes
    2. Les Scandinaves
  6. D’Athènes à Bois-le-Roi
    1. Les Vikings ont tagué le Lion du Pirée avec des runes
    2. Äsping « Lion of Piraeus »
    3. Méditation philhellène
    4. Je voudrais devenir ce livre que tu es en train de lire
    5. Pourquoi la Grèce ?
      1. Jacqueline de Romilly contre les barbares
    6. Chanson Seikilos
  7. Athènes – Copenhague – Bois-le-Roi
    1. Musée national du Danemark
  8. Adieux les rives de la Seine languissantes et cap final sur la mer Egée
    1. Elargissement de la conscience
    2. Homme futur
    3. Pierre du Soleil des Viking ou orichalque des Atlantes (Grèce)
  9. Voir aussi

Sur la rive droite de Bois-le-Roi

13/07/2023

Fin d’après-midi à Pipi Plage. Chartrettes. Ce qui doit ad-venir adviendra : place à l’ad-venture poétique de cette fin de monde.

La mer… là-bas.

Ici commencent les vagues de la mer.

Vikings en Poésie

Vikings en Poésie

  

De Storvik à Bois-le-Roi

Åsa Larsson

En passant par les Forêts d’Europe

https://www.facebook.com/resmirandamusic/videos/1114093675400758

Peintres de Skagen
Portrait du peintre danois Peder Severin Krøyer (1851-1909) par Laurits Tuxen, 1904. Inv.Nr 191 B. Acquis en 1907

Die Bremer Stadtmusikanten

Expo-parade animalière : ânes, chiens, chats et coqs sont de l’aventure!

Pour en savoir plus sur les « musiciens de Brême »
https://gillesenlettonie.blogspot.com/2016/04/les-musiciens-de-breme-riga.html

Voir coqparade

Vie-King PoëtiK Balade du K <

14/072023

Sur la voie joyeuse du don sans attaches

Pictured: Kristin Damrow and Ashley Brown
Photo: Alyce Finwall http://www.heatherdance.com/2015/06/alyce-finwall-dance-theaterolga.html?fbclid=IwAR3nJpxY47K7W9SQQ9VTsum1Hz_siqm9oNrVLls6cpQFQ8chtJa9K__2nYc

Kenaz symbolise l’homme debout avec l’épée dans la main.

Feu

Flambeau

KANO

Le feu est la lumière du ciel

sa teinte la plus pâle.

Cette branche ardente

brûlant au cnetre de l’âtre

réclame sa parenté

avec le soleil.

Ce qui se cache dans les ombres

m’apparait clairement maintenant.

-Ralph Blum-

M – I – K – L vous souhaite la bienvenue sur le chemin du K <
Runes M – I – K – L
Mon prénom (Mikaël) en alphabet runique (enchaînement de yoga runique)

#Love PoetiK #Drakkar : Prédiction sur la #Seine par temps de pluie

15/07/2023

#synchronicité à la #boitealivre du #carrefourmarket de #chartrettes

Synchronicite. Quand on va à l’ad-venture on fait toujours de vraies rencontres. Un homme ou un livre c’est pareil. Seulement un livre c’est plus conséquent qu’un homme parce que un livre c’est un homme qui a quelque chose à dire, c’est un homme disant. Alors que les hommes sont généralement des passants passifs.

Les Scandinaves

D’Athènes à Bois-le-Roi

16/07/2023

Les Vikings ont tagué le Lion du Pirée avec des runes

Des centaines, voire des milliers de Vikings se sont rendus en Méditerranée en tant que mercenaires. Ce qui pourrait passer pour un acte de vandalisme sur une statue de la Grèce antique à Venise témoigne encore aujourd’hui de leur passage dans le port d’Athènes. 

Johan David Åkerblad

C’est Johan David Åkerblad qui le premier identifia, au tournant du XVIIIème siècle, la nature des inscriptions gravées sur les deux côtés de la statue. Ce diplomate et linguiste suédois, alors âgé de 36 ans, était en visite à Venise lorsqu’il reconnut immédiatement des runes sur le grand lion à l’entrée de l’arsenal, l’ancienne base navale de la célèbre ville adriatique.

D’aucuns auraient pu penser que les Vikings devaient avoir fait main basse sur les trésors antiques de la cité puisqu’elle existait déjà à l’époque où ils écumaient la Méditerranée. Mais la statue est bien plus ancienne et se trouvait à l’origine installée au Pirée, le principal port d’Athènes. 

De Porto Leone à l’arsenal

Sculpté en position assise dans du marbre blanc vers 360 avant notre ère, à l’époque d’Alexandre le Grand, le Lion du Pirée a presque 2400 ans aujourd’hui. Il mesure près de 3 mètres de haut et fut durant 1500 ans un point de repère si important qu’il valut au port d’être rebaptisé Porto Leone, littéralement le « Port du Lion ».

Les Vénitiens se l’accaparèrent après avoir arraché en 1668, à l’issue de la Guerre de Morée (ou sixième guerre turco-vénitienne), le contrôle de la ville portuaire d’Athènes aux Turcs de l’Empire ottoman.

Depuis lors, la statue orne la porte de l’arsenal aux côtés d’autres sculptures de lions, un animal symbole de Saint Marc, le saint patron de Venise. Le lion du Pirée se distingue toutefois par trois inscriptions runiques datées du XIème siècle qu’il arbore sur ses deux flancs. 

Impacts de balles et lente érosion

Le premier à avoir été chargé de proposer une traduction des inscriptions runiques, fut Carl Christian Rafn, secrétaire du Kongelige Nordiske Oldskrift-Selskab (la Société royale des antiquaires nordiques), en 1854.  Une tâche malaisée tant les inscriptions sont fortement dégradées. 

Il y a 350 ans, des impacts de balles de soldats turcs, ou peut-être vénitiens, ont largement contribué à endommager la statue, faisant disparaître des runes. D’autres sont devenues peu à peu illisibles sous les effets conjugués de la pollution de l’air à Venise et de l’érosion due aux intempéries.

Plusieurs tentatives de déchiffrage ont nécessité de compléter les parties manquantes afin de pouvoir traduire chaque inscription. Celle d’Erik Brate en 1913 est considérée comme étant la plus réussie:

  • Ils l’ont abattu au milieu de ses armées. Mais dans le port les hommes ont gravé des runes près de la mer en mémoire de Horsi, un bon guerrier. Les Suédois ont mis ceci sur le lion. Il suivit son chemin avec de bons conseils, de l’or il gagna dans ses voyages.
  • Les guerriers ont gravé des runes, les ont taillées dans une spirale ornementale.
  • Æskell (Áskell) [et d’autres] et Þorlæifʀ (Þorleifr) les ont bien gravées, eux qui vivaient à Roslagen. [N. N.] fils de [N. N.] grava ces runes. Ulfʀ (Úlfr) et [N. N.] les ont colorées en mémoire de Horsi. Il gagna de l’or dans ses voyages. 

Suédois VS Norvégiens

À la suite de la découverte de Johan David Åkerblad, les chercheurs ont longtemps supposé que les marquages sur le lion était l’œuvre de Vikings originaires de Suède. 

Leur hypothèse repose pour une part sur le fait que le mot « Svear » (ou « Svíar », c’est-à-dire « suédois ») apparaît dans l’inscription runique sur le côté gauche de la statue: « Les Svear ont mis ceci sur le lion » (riþu suiar þita linu) – ce qui fait de ce texte le plus ancien connu mentionnant ce terme.

D’autres part, les courbes sineuses et entrelacées à l’intérieur desquelles les runes sont gravées, sont semblables aux ornements figurant sur les nombreuses pierres runiques qui parsèment la Suède. Beaucoup d’entre elles ont notamment été édifiées en mémoire de membres de la garde varangienne qui ne sont jamais rentrés chez eux. 

Néanmoins, d’après l’étude plus approfondie menée, il y a quelques années, par le Dr Thorgunn Snædal du Conseil du patrimoine national suédois, runologue islando-suédoise et chercheuse, plusieurs éléments indiquent que les runes sur le côté droit de la statue pourraient être l’œuvre de Vikings originaires de l’actuelle Norvège.

Pour le moins, les runes du Lion du Pirée furent en effet gravées à une époque où ont retenti en Méditerranée les noms de deux célèbres conquérants norvégiens, Harald Hardråde (1015-1066) et Sigurd Jórsalafari (1090-1130).

Des Vikings mercenaires

Certains chercheurs ont bien essayé de lire dans les runes le nom du tout dernier roi viking de Norvège, Harald Hardråde. Mais leur interprétation est sujette à caution, d’autant plus que le moment où l’inscription a été gravée ne coïnciderait pas avec la période de sa vie où il œuvrait à la tête de la garde varangienne, soit au cours de la première moité du XIème siècle.

Au lieu de cela, il est plus probable que les Vikings qui ont inscrit ces runes 700 ou 800 ans plus tôt, étaient des mercenaires, des Vaeringjar (« Varègues » en vieux norrois), au service de l’empereur byzantin, à Constantinople – la ville qui s’appelle aujourd’hui Istanbul et que les Vikings appelaient Miklagard (« Grande Ville »).

Avec la promesse d’une généreuse rétribution sous forme de butin à la clé, les guerriers venus de Norvège et de Suède comme mercenaires étaient très nombreux à postuler, souligne Leif Inge Ree Petersen, chercheur en Histoire au NTNU à Trondheim: « Il y en avait beaucoup. Et en réalité, nous connaissons les noms de plusieurs centaines d’entre eux. Harald Hardråde à lui seul aurait eu 500 hommes avec lui, selon les sagas. Nous ne savons pas si c’est vrai. Mais cela ne semble pas irréaliste« , précise-t-il.

Trois groupes scandinaves différents

Thorgunn Snædal. « Svear » nämnt första gången på lejon https://sverigesradio.se/artikel/5791138

Entre 2009 et 2013, Thorgunn Snædal a passé au total 15 jours à Venise, se rendant sur place à différentes périodes de l’année dans le but d’examiner en détail les inscriptions sous divers angles d’éclairage par la lumière du soleil. Perchée sur un escabeau, elle a travaillé des heures durant à déchiffrer les runes du lion, à la fois avec ses yeux et avec ses doigts.

Ses observations, publiées dans un rapport en 2014, l’ont convaincue que les runes ont été gravées par 3 groupes d’anciens Scandinaves sans lien aucun, et à des dates différentes. 

D’après la chercheuse, l’inscription la plus ancienne sur le côté gauche du lion – celle qui a très certainement été faite par des Vikings suédois – date des années 1020. Tandis que l’inscription sur le côté droit du lion – probablement réalisée par des mercenaires norvégiens – pourrait dater des années 1070 à 1100, soit plusieurs décennies plus tard.

Côté gauche, des runes suédoises

La plus ancienne inscription runique sur le côté gauche du lion donne un aperçu de la vie périlleuse des mercenaires. Elle est dédiée à la mémoire d’un camarade des guerriers suédois, un certain nommé Haursi (ou Horsi).

Est-il mort au cours de la guerre contre les Bulgares, que les Varègues ont aidé à gagner en 1018 ? Ou était-ce alors qu’il servait, probablement comme beaucoup d’autres guerriers, à bord d’un des navires de la flotte de l’empereur en mer Égée ? Ou peut-être a-t-il été tué durant un affrontement contre les Arabes au Serkland [i.e le « pays des Serkir », généralement identifiés aux Sarrasins]. En tout cas, l’inscription précise que Horsi serait mort après avoir perçu une part du butin de guerre.

« Pour les mercenaires scandinaves, il était naturel de graver des mots commémoratifs avec des runes si un ami proche ou un camarade de combat décédait », a déclaré Thorgunn Snædal à Sveriges Radio. Le port d’Athènes formait sans doute un lieu de repos idéal, très fréquenté par les guerriers en route de Constantinople vers les divers champs de bataille.

La chercheuse ne veut pas complètement exclure le fait que les mercenaires suédois à l’origine de cette inscription runique aient pu être des soldats de l’armée de Harald Hardråde. Mais il est peu probable, relève-t-elle, que ces personnes aient été particulièrement qualifiées pour exécuter la gravure – ce que semble démontré le dessin d’Erik Brate où il apparaît clairement que les lignes entrelacées ornant le texte commémoratif leur ont donné du fil à retordre.

Côté droit, des runes norvégiennes?

Vient ensuite, dans l’ordre chronologique, l’inscription runique la plus courte, côté gauche du lion: « drængiaR ríst rúnar« , c’est-à-dire « Les jeunes (guerriers) ont gravé les runes« , selon le déchiffrage de Thorgunn Snædal. Cette formule n’est pas sans évoquer une sorte de tag, comme une marque de leur passage, mais rien n’indique l’origine de ces Varègues, note la chercheuse. Étaient-ils Suédois, Norvégiens ou peut-être Islandais?

Quant à la plus récente des 3 inscriptions runiques, du côté droit du lion, elle est composée d’une centaine de runes comme la plus ancienne du côté gauche. Elle est gravée en forme de ruban sineux figurant le corps d’un dragon, ce qui indique que la personne devait bien maîtriser l’art de cette écriture, estime Thorgunn Snædal.

Il est même possible de reconnaître dans l’exécution de la tête du dragon l’élégance propre au style d’Urnes – nommé ainsi d’après les sculptures sur le célèbre portail de l’église en bois debout d’Urnes, en Norvège, la plus ancienne église de ce type encore conservée depuis son édification vers 1130.

Malheureusement, seulement 50% des runes dites norvégiennes sur le côté droit du lion du Pirée sont encore lisibles – contre 80% des runes suédoises de l’autre côté du lion – car elles ont été plus durement touchées par les tirs au XVIIème siècle, spécifie la chercheuse .

Åsmund maîtrisait l’art runique

La personne, potentiellement d’origine norvégienne, qui a gravé les runes sur le côté droit de la statue s’appelle Åsmund [Áskell, dans la traduction d’Erik Brate]. Ses runes et ornements sont complexes et bien exécutés, ce qui montre une maîtrise certaine de cet art, d’après Thorgunn Snædal. 

La forme des runes indique, selon elle, que l’inscription a dû être réalisée au cours de la seconde moitié du XIème siècle. Étaient-ce les guerriers norvégiens qui participèrent, en 1081, à la défense de la ville de Dyrrachium (aujourd’hui Durrës en Albanie) contre les attaquants normands de Sicile? Ou étaient-ce ceux qui, en 1092, partirent au combat depuis le Pirée pour réprimer les rébellions contre l’empereur en Crète et à Chypre? Peut-être même étaient-ils accompagnés de guerriers anglais fuyant vers Byzance l’occupation de leur patrie par Guillaume le Conquérant.

Thorgunn Snædal n’est guère surprise qu’il y ait eu des individus qualifiés dans l’art runique parmi les guerriers scandinaves qui se sont battus pour l’Empire byzantin. Elle espère même qu’un jour, peut-être, d’autres traces écrites du talentueux Åsmund seront retrouvées quelque part dans les pays nordiques.

Par contre, rien ne dit comment ces Vikings suédois et norvégiens ont pu ‘vandaliser’ le Lion du Pirée à 3 reprises, et à plusieurs décennies d’écart, en toute impunité. Les Grecs n’ont probablement pas apprécier de tels agissements, mais visiblement personne n’a osé les arrêter.

Äsping « Lion of Piraeus »

From the upcoming album « Lion of Piraeus » to be released on 14/06/2019 on black vinyl.

ANNAPURNA is proud to present the striking debut album of ÄSPING, The Lion of Piraeus, on vinyl LP format.

ÄSPING is a collaboration project where the two constant members, Åsa Nordgren (vocals, composition) and Michael Idehall (electronics, composition), invite others to experiment with music and sound. Although they have performed live on a few occasions, The Lion of Peraeus is their first music release.

On The Lion of Piraeus, Michael and Åsa were invited to Athens to create music with Yiannis K. of the renowned Greek black metal band Serpent Noir. The eight songs of The Lion of Piraeus were composed and recorded during a week in the summer of 2014 in the old harbor city of Piraeus, now a part of Athens. The Lion of Piraeus is a sculpture defaced by Vikings who carved runes into it in the 11th century. The lion seemed a fitting symbol for the combination of Scandinavian and Mediterranean sensibilities.

The sound of ÄSPING changes depending on the musicians who are involved in a particular project. On The Lion of Piraeus, the inclusion of Yiannis K. provides a solid base of guitar-driven melody. Åsa’s characteristically strong vocals are always present, as are Michael’s electronic textures and astute production. Altogether, the recording is a haunting, bewitching sojourn into mystical and metaphysical depths. And this is only the beginning for ÄSPING… 

Extraits https://annapurnaprod.bandcamp.com/album/sping-lion-of-piraeus

Méditation philhellène

Méditation philhellène 🧿

par Stéphane Barsacq

« De siècle en siècle, la Grèce n’a cessé d’être le haut lieu, tant recherché, d’une synthèse improbable entre l’Orient et l’Occident, dont chaque époque a attendu une régénération entière. Elle a offert une double image contradictoire : d’abord celle d’un Orient reculé dans le temps, avec le renouveau du paganisme antique, et un univers de plaisirs cachés, et, de la sorte, comme la figure hyperbolique de l’Ailleurs ; puis l’image, non moins paradoxale, d’un Occident, innocent et libre à son origine, berceau d’une nature, d’une politique et d’un art, en tous points parfaits. Cette Antiquité, rêvée par Montesquieu, Rousseau ou Diderot, a toujours été, jusqu’à notre époque, ce continent nouveau que l’on découvre sans fin, une terre toujours vierge de la corruption des pouvoirs et de l’usure du temps, le lieu rêvé d’une table rase et d’un recommencement où la culture, la morale et la loi se révèlent, dans la fraîcheur païenne de leurs premiers élans, comme des productions de la Nature. A la suite de l’abbé Barthélemy et de son « Le voyage du jeune Anacharsis en Grèce », – le best-seller de la Révolution française -, Lucien d’Azay & Caroline Fourgeaud-Laville nous invitent chacun à sa manière, et plus que jamais, à prendre la voile. »

Je voudrais devenir ce livre que tu es en train de lire
https://www.facebook.com/photo/?fbid=3362499447345363&set=a.1637647779830547

Je voudrais devenir ce livre que tu es en train de lire
Je serai toutes ces images et toutes ces voix et tous ces paysages qui viendront en toi
Puis je m’allongerai dans ta mémoire et je serai à toi

Caroline Fourgeaud-Laville

Pourquoi la Grèce ?
Jacqueline de Romilly contre les barbares

Chanson Seikilos
Texte de la stèle déployé

L’épitaphe de Seikilos est conservée au « Nationalmuseet » de Copenhague, au Danemark.

Cette chanson d’amour est la plus vieille du monde.

La plus vieille composition musicale connue à ce jour est une chanson grecque. Gravée sur une colonne de marbre il y a près de 2 200 ans, « la chanson de Seikilos » se retrouve aujourd’hui sur YouTube et donne matière à de nombreuses interprétations.

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2016-03-10/cette-chanson-damour-est-la-plus-vieille-du-monde-62bcdb79-efd7-4016-9f1a-557f0d21810e?fbclid=IwAR32b4Pwx9r8GDB4AR_wBx8sHRAtDrtkCCK-EMPiJcLQ3Sn8j2KiPsASt4E

En savoir plus https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pitaphe_de_Seikilos?fbclid=IwAR2kOGQym3cwot9Dp_-dHM1XwnEsN3swtfprirS8Vj18a-CN9YeijIMJAmg

« Mientras Vivas Brilla » o Epitafio de Seikilos del siglo II a.C. Escrito en la piedra de la tumba de Euterpe, la amada de Seikilos de Tralles, Asia Menor (antigua Grecia). Arreglos y adaptación de Luis Paniagua. Arreglo para violín de Farran Sylvan James.

Athènes – Copenhague – Bois-le-Roi

17/07/2023

Musée national du Danemark
L’épitaphe de Seikilos est conservée au « Nationalmuseet » de Copenhague, au Danemark.

Char solaire de Trundholm

Le char solaire de Trundholm est un objet de bronze découvert en 1902 près de Nykøbing, en Zélande-du-Nord, au Danemark. Il a été daté de l’Âge du bronze, aux alentours de 1400 av. J.-C. C’est la plus ancienne représentation de char solaire connue en Europe. Il est conservé au musée national du Danemark, à Copenhague.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_national_du_Danemark

Adieux les rives de la Seine languissantes et cap final sur la mer Egée

Elargissement de la conscience
Alphabet ionien

L’aventure des écritures

Homme futur

Pierre du Soleil des Viking ou orichalque des Atlantes (Grèce)
Un spath d’Islande. Selon l’hypothèse de certains chercheurs, la pierre de soleil mentionnée dans des textes médiévaux pourrait avoir été un cristal de ce type https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_soleil_%28navigation%29

Voici l’incroyable aventure contée par Christos Mavrothalassatis, scaphandrier grec.

« C’était en 1919. Mon père (Gabriel) qui avait une entreprise de plongée sous-marine et de pêche d’éponges, travaillait autour des îles grecques avec Zalakhos, son associé. J’étais tout gosse, mais déjà je les accompagnait en expédition ».

« Un jour nous arrivâmes devant une île inhabitée, dont un rivage est fait de sillons de granit paraissant couler dans la mer, comme si dans les temps anciens quelque chose était tombé du ciel et avait fait fondre les rochers. Zalakhos plongea du côté nord, contourna l’îlot jusqu’au sud et revint terrorisé sur le bateau:
Gabriel, dit-il à mon père, il y a du feu sous la mer et si on touche une éponge, le sable qui se soulève brûle la main. Si on le touche avec le pied, on est saisi par une flamme invisible. Il y a comme des radiations sous l’eau ».

En savoir plus http://philippelopes.free.fr/PierreDuSoleilVikingsOrichalqueAtlantes.htm

Voir aussi

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