Sur le Chemin du Paradis au Liban

Notre-Dame du Liban est le vocable par lequel la Vierge-MarieMère de Dieu, est invoquée comme patronne, protectrice et reine du Libanhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Notre-Dame_du_Liban

Marie, Porte du Ciel, délivrez-nous des œuvres de ténèbres
et guidez nos pas sur le chemin du paradis
.

  1. Beyrouth
    1. Quartier Saint-Michel
      1. Ligne sacrée de saint Michel
    2. Achrafieh
      1. Statue de la Sainte Vierge
        1. Maryam, Mariam, ou Meryem
      2. À Achrafieh, les multiples vies de la maison Lamartine
      3. Le paradis perdu / Milton ; traduction de Chateaubriand. Précédé de Réflexions sur la vie et les écrits de Milton / par Lamartine…
      4. Aux chrétiens dans les temps d’épreuves – Alphonse de LAMARTINE
    3. Bécharré
      1. L’ordre Maronite Mariamite de la Bienheureuse Vierge Marie
      2. Eglise Saint Élie (Mar Elias) de  Chouaiya
      3. Cathédrale St. Stéphan à Batroun
    4. Liste de couvents et monastères au Liban
    5. Actualités
      1. Noël 2024 à Beyrouth
    6. Liens externes
    7. Voir aussi

Beyrouth

Quartier Saint-Michel

Quartier chrétien Saint-Michel de Beyrouth trois mois après les explosions du port. Ce quartier et cette région restent sinistrés et très endommagé

Le quartier de St. Michel est tout près de Gemmayzé et du Centre Ville de Beyrouth, c’est à peu près à 2.5km du centre ville de Beyrouth. Et c’est tout près d Ashrafieh, une région purement chrétiennes. jusqu’à ce jour, après 4 ans et demi, il reste encore dans les quartiers ruinés par les explosions des bâtiments très endommagés.

Ligne sacrée de saint Michel

L’épée de l’archange saint Michel : ces sept sanctuaires unis par un fil invisible https://fr.aleteia.org/2017/05/26/7-sanctuaires-dedies-a-saint-michel-archange-unis-par-un-fil-direct

Prolongement : Israël – Monastère Stella Maris > quartier Saint-Michel de Beyrouth

Achrafieh

Achrafieh (الاشرفية) est un quartier chrétien de l’est de Beyrouth (capitale du Liban).

Historiquement, les habitants étaient issus de la bourgeoisie grecque-orthodoxe du XIXe siècle, dont la marque est restée avec les villas du quartier Sursock.

Au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, une importante migration maronite du Mont Liban historique, issue de la classe moyenne, est venue peupler le quartier.

En savoir plus https://fr.wikipedia.org/wiki/Achrafieh

Statue de la Sainte Vierge
Statue de la Sainte Vierge à l’entrée d un grand bâtiment à Achrafieh

MaryamMariam, ou Meryem
Miniature persane de Marie et Jésus.

MaryamMariam, ou Meryem (en arabe : مريم), est la mère de ʿĪsā, c’est ainsi qu’est appelé Jésus dans le Coran et la tradition musulmane. Maryam est la forme araméenne du nom « Marie », alors que Myriam en est la forme en hébreu. À la suite du Nouveau Testament, l’islam professe la conception virginale de Jésus/ʿĪsā en son sein. Elle est la seule femme nommément citée dans le Coran et la dix-neuvième sourate porte son nom. Elle est d’ailleurs citée plus souvent dans le Coran que dans le Nouveau Testament. Le prénom Maryam est courant parmi les musulmanes.

En savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Maryam

À Achrafieh, les multiples vies de la maison Lamartine

Du passage d’Alphonse de Lamartine à Beyrouth, ne reste que le squelette de sa demeure d’Achrafieh. Car la bâtisse, devenue école juive puis couvent, est aujourd’hui laissée à l’abandon. Ultimes témoins de ce riche passé: des voûtes, de vieilles archives et les mots du célèbre poète, consignés dans son journal de l’époque.

https://icibeyrouth.com/articles/28068/a-achrafieh-les-multiples-vies-de-la-maison-lamartine#carousel-0-generic

Le paradis perdu / Milton ; traduction de Chateaubriand. Précédé de Réflexions sur la vie et les écrits de Milton / par Lamartine…
Lire en ligne ou télécharger https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5454784p

Milton, John (1608-1674). Auteur du texte

Aux chrétiens dans les temps d’épreuves – Alphonse de LAMARTINE

Pourquoi vous troublez-vous, enfants de l’Evangile ?
À quoi sert dans les cieux ton tonnerre inutile,
Disent-ils au Seigneur, quand ton Christ insulté,
Comme au jour où sa mort fit trembler les collines,
Un roseau dans les mains et le front ceint d’épines,
Au siècle est présenté ?

Ainsi qu’un astre éteint sur un horizon vide,
La foi, de nos aïeux la lumière et le guide,
De ce monde attiédi retire ses rayons ;
L’obscurité, le doute, ont brisé sa boussole,
Et laissent diverger, au vent de la parole,
L’encens des nations.

Et tu dors ? et les mains qui portent ta justice,
Les chefs des nations, les rois du sacrifice,
N’ont pas saisi le glaive et purgé le saint lieu ?
Levons-nous, et lançons le dernier anathème ;
Prenons les droits du ciel, et chargeons-nous nous-même
Des justices de Dieu.

Arrêtez, insensés, et rentrez dans votre âme ;
Ce zèle dévorant dont mon nom vous enflamme
Vient-il, dit le Seigneur, ou de vous ou de moi ?
Répondez ; est-ce moi que la vengeance honore ?
Ou n’est-ce pas plutôt l’homme que l’homme abhorre
Sous cette ombre de foi ?

Et qui vous a chargés du soin de sa vengeance ?
A-t-il besoin de vous pour prendre sa défense ?
La foudre, l’ouragan, la mort, sont-ils à nous ?
Ne peut-il dans sa main prendre et juger la terre,
Ou sous son pied jaloux la briser comme un verre
Avec l’impie et vous ?

Quoi, nous a-t-il promis un éternel empire,
Nous disciples d’un Dieu qui sur la croix expire,
Nous à qui notre Christ n’a légué que son nom,
Son nom et le mépris, son nom et les injures,
L’indigence et l’exil, la mort et les tortures,
Et surtout le pardon ?

Serions-nous donc pareils au peuple déicide,
Qui, dans l’aveuglement de son orgueil stupide,
Du sang de son Sauveur teignit Jérusalem ?
Prit l’empire du ciel pour l’empire du monde,
Et dit en blasphémant : Que ton sang nous inonde,
O roi de Bethléem !

Ah! nous n’avons que trop affecté cet empire !
Depuis qu’humbles proscrits échappés du martyre
Nous avons des pouvoirs confondu tous les droits,
Entouré de faisceaux les chefs de la prière,
Mis la main sur l’épée et jeté la poussière
Sur la tête des rois.

Ah! nous n’avons que trop, aux maîtres de la terre,
Emprunté, pour régner, leur puissance adultère ;
Et dans la cause enfin du Dieu saint et jaloux,
Mêlé la voix divine avec la voix humaine,
Jusqu’à ce que Juda confondît dans sa haine
La tyrannie et nous.

Voilà de tous nos maux la fatale origine ;
C’est de là qu’ont coulé la honte et la ruine,
La haine, le scandale et les dissensions ;
C’est de là que l’enfer a vomi l’hérésie,
Et que du corps divin tant de membres sans vie
Jonchent les nations.

 » Mais du Dieu trois fois saint notre injure est l’injure ;
Faut-il l’abandonner au mépris du parjure ?
Aux langues du sceptique ou du blasphémateur ?
Faut-il, lâches enfants d’un père qu’on offense,
Tout souffrir sans réponse et tout voir sans vengeance ? « 
Et que fait le Seigneur ?

Sa terre les nourrit, son soleil les éclaire,
Sa grâce les attend, sa bonté les tolère,
ils ont part à ses dons qu’il nous daigne épancher,
Pour eux le ciel répand sa rosée et son ombre,
Et de leurs jours mortels il leur compte le nombre
Sans en rien retrancher.

Il prête sa parole à la voix qui le nie ;
Il compatit d’en haut à l’erreur qui le prie ;
À défaut de clartés, il nous compte un désir.
La voix qui crie Alla ! la voix qui dit mon Père,
Lui portent l’encens pur et l’encens adultère :
À lui seul de choisir.

Ah! pour la vérité n’affectons pas de craindre ;
Le souffle d’un enfant, là-haut, peut-il éteindre
L’astre dont l’Eternel a mesuré les pas ?
Elle était avant nous, elle survit aux âges,
Elle n’est point à l’homme, et ses propres nuages
Ne l’obscurciront pas.

Elle est! elle est à Dieu qui la dispense au monde,
Qui prodigue la grâce où la misère abonde ;
Rendons grâce à lui seul du rayon qui nous luit !
Sans nous épouvanter de nos heures funèbres,
Sans nous enfler d’orgueil et sans crier ténèbres
Aux enfants de la nuit.

Esprits dégénérés, ces jours sont une épreuve,
Non pour la vérité, toujours vivante et neuve,
Mais pour nous que la peine invite au repentir ;
Témoignons pour le Christ, mais surtout par nos vies ;
Notre moindre vertu confondra plus d’impies
Que le sang d’un martyr.

Chrétiens, souvenons-nous que le chrétien suprême
N’a légué qu’un seul mot pour prix d’un long blasphème
À cette arche vivante où dorment ses leçons ;
Et que l’homme, outrageant ce que notre âme adore,
Dans notre coeur brisé ne doit trouver encore
Que ce seul mot : Aimons !

Bécharré

L’ordre Maronite Mariamite de la Bienheureuse Vierge Marie
Ordre Maronite Mariamite OMM الرهبانية المارونية المريمية

L’ordre Maronite Mariamite de la Bienheureuse Vierge Marie, (en latin Ordo maronita Beatæ Mariæ Virginis), communément appelé ordre mariamite maronite ou juste ordre mariamite est un ordre religieux et apostolique oriental catholique. Il appartient à l’Église maronite.

L’Ordre fut fondé par trois jeunes gens d’Alep: Gabriel Hawa, Abdallah Qar’ali et Joseph El-Betn, le 10 novembre 1694, lorsque le Patriarche Étienne El Douaihi (1670-1704) les revêtit, « ad experimentum », du capuche et de l’habit religieux, et leur offrit le couvent de Sainte Moura à Ehden.

Le 10 novembre 1698, le nouvel Ordre tint son premier chapitre général, au couvent St. Elysée, à Bécharré dans le Nord du Liban.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_mariamite_maronite

https://www.facebook.com/ommlebanon

Eglise Saint Élie (Mar Elias) de  Chouaiya
La porte occidentale dans le style local du XVIIIe siècle http://home.balamand.edu.lb/english/ARPOA.asp?id=8020&fid=270

Église Saint Élie (Mar Elias) de  Chouaiya
 
LocalisationCouvent de Saint Élie, en contrebas de Dhour Choueir
Concepteur 
Construction1760, en remplacement du sanctuaire (du XVIe siècle)  détruit par un  tremblement de terre, lui-même édifié sur un ermitage d’origine dite antiqueRestauration au tournant du XXe siècle et en 1969

http://home.balamand.edu.lb/english/ARPOA.asp?id=8020&fid=270

Cathédrale St. Stéphan à Batroun

كاتدرائيّة مار اسطفان – البترون

بُنيت كاتدرائية مار أسطفان على أنقاض كنيسةٍ أقدم عهدًا سنة ١٩١٠، يوم كانت المدينة في أوجّ نموّها. تتميّز الكاتدرائيّة أنّها تجمع الطراز النيوكلاسيكيّ والنيوبيزطيّ. مبنيّة على نمطٍ بازيليكيّ بثلاث أسواقٍ تنتهي بثلاث حنايا وفيها ثلاث مذابح. تحوي الكنيسة كرسيّ الأسقف، لوحة غربيّة الصنع لمار أسطفان، بيما للوعظ، وجرن للعماد ذات قبّة. واجهتها الغربيّة تطلّ على المرفأ وتتميّز بقبابها التي يتوسطها تمثال مار اسطفان.

St Stephen’s cathedral – Batroun

The cathedral was built over an older church in 1910, during the city’s economical peak. The chuch combines neoclassical and neo Byzantine styles, according to a basilical plan with three naves and three semi circular apses with altars. The cathedral holds the episcopal chair, a western painting of St Stephen, a pulpit, and a western style domed baptisimal font. The western facade of the church overlooks the city’s port, with two domes ans St Stephen’s statue between them.

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Liste de couvents et monastères au Liban

Croix surplombant la vallée de Qadisha.

Voir ici : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Liste_de_couvents_et_monast%C3%A8res_au_Liban

Actualités

Noël 2024 à Beyrouth

Liens externes

Voir aussi