
- Épisode 1 : « Le Pacte d’Uruz à Chartrettes » (1er août 2025)
- Appel à participation
- Vie-King PoëtiK Balade de Chartrettes à Fontaine-le-Port
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Épisode 1 : « Le Pacte d’Uruz à Chartrettes » (1er août 2025)
Lieu : Chartrettes, sur Pipi Plage face à Bois-le-Roi, au bord de la Seine.
Temps : Une matinée brumeuse d’août 2025, à l’aube.
La brume drapait la Seine comme un voile tissé par les Nornes, déesses du destin, effleurant les berges de Pipi Plage à Chartrettes, face à Bois-le-Roi. Cette petite crique de sable, parsemée de coquillages marins polis par le courant, était le berceau des rêves d’enfant de Sigurd. il se tenait immobile, les pieds enfoncés dans le sable humide, face au fleuve paresseux, sa mandoline et son bodhrán, tambour irlandais, posés contre son sac à dos. L’aube, hésitante, suspendait le monde dans un demi-jour où le réel et l’imaginaire se frôlaient. Dans sa main, le jeu de cartes runiques de Ralph Blum, encore tiède du rituel matinal, vibrait d’une énergie ancienne. Uruz ( ᚢ ). La rune de la force, des nouveaux commencements, confirmée par un songe nocturne, résonnait comme un tambour viking, un appel à ressusciter le Festival Viking Voyageur (FVV), une odyssée poétique pour faire chanter les fleuves du monde avec la voix des scaldes et inspirer les « Nouveaux Vikings », poètes-guerriers au service du réenchantement du monde.
Sigurd ferma les yeux, inspirant l’humidité du fleuve, mêlée d’odeurs d’herbe mouillée et de bois flotté. Porté par l’AWEN, le grand souffle celtique de l’inspiration poétique, il sentait la Superbe Vie-King Attitude vibrer en lui, une audace créative défiant le scepticisme d’un XXIe siècle désolé et chaotique. Un souvenir d’enfance jaillit, vif comme une vague. À sept ans, sur cette plage, il sculptait des drakkars miniatures avec des brindilles et des coquillages. Il les lançait dans le courant, rêvant de mers nordiques, de grandes expéditions, de guerriers aux boucliers gravés et de scaldes chantant sous les étoiles. « Un jour, je naviguerai comme eux », murmurait-il, ignorant que ces jeux, soixante ans plus tard, feraient naître le FVV. Ce festival ne serait pas une simple fête, mais une grande aventure des temps modernes, un pont entre les âges et les cultures, une « Nouvelle Route des Vikings du XXIe siècle », reliant les peuples d’Europe et du monde. Elle commencerait ici, à Pipi Plage, pour remonter la Seine vers Saint-Mammès, puis Grez-sur-Loing, où une colonie d’artistes scandinaves aurait gravé des poèmes runiques dans les pierres du Loing, avant de suivre la route préhistorique des Rennes jusqu’aux confins des terres nordiques.
Aujourd’hui, 1er août, jour de Lughnasadh, fête celtique des récoltes, Sigurd imaginait inaugurer le FVV avec un Freyrblót des Nouveaux Vikings, un rituel nordique en l’honneur de Freyr, dieu de la fertilité et des liens entre les peuples. Une foule modeste – habitants de Chartrettes, Bois-le-Roi, peut-être un batelier de Saint-Mammès – se rassemblerait autour d’un feu crépitant. Des enfants construiraient des drakkars en carton, leurs voiles colorées flottant au vent, tandis que Sigurd, à la mandoline et au bodhrán, chanterait une ode des Nouveaux Vikings, en souvenir à Saint-John Perse, cet immense poète qui l’avait mené sur les rivages du Grand Chant poétique ancestral, celui des bardes et des scaldes : « Ô Seine, amer des étoiles, guide nos âmes liées. » Le battement du bodhrán, comme le pouls d’une jeunesse éternelle, unirait la foule dans un rythme chamanique.
Des enfants construiraient des drakkars en carton, leurs voiles colorées flottant au vent, tandis que des poètes déclameraient sous des tentes évoquant les voiles vikings. Une stèle gravée d’Uruz serait plantée dans le sable, symbole de force et de renouveau. Des offrandes de coquillages et de pain seraient jetées dans la Seine, unissant l’esprit celtique de Lughnasadh à la tradition nordique. Sigurd envisageait des Vie-King PoëtiK Balades, marches poétiques le long de la Seine, où il enseignerait le yoga runique sur les berges, mêlant postures et runes pour invoquer l’AWEN et rallier les cœurs.
Il s’agenouilla, posa son sac à dos, et en sortit deux livres précieux : le vieux volume de Maurice Gravier, tombé d’une « boîte à livres » du Carrefour Market comme un signe du destin, et le livre de Régis Boyer sur la poésie scaldique, vibrant de mots anciens et de formules savantes. Gravier racontait les Vikings, commerçants et poètes tissant des liens entre les peuples. Boyer donnait vie aux scaldes, dont les vers transformaient les flots en « chemins des baleines » et le vent en « souffle d’Odin ». Sigurd ouvrit le livre de Boyer au hasard, et une strophe dansa sous ses yeux :
Par le chant des vagues, le scalde forge le destin,
Sur la route des flots, les étoiles tracent le chemin.
Ces mots, il les ferait vivre. Il prit sa mandoline et joua une mélodie douce, mêlant un air des trouvères du Gâtinais, à un kenning viking. Puis, il saisit son bodhrán, frappant un rythme grave, se synchronisant au pouls ondin de Sequana, déesse gallo-romaine de la Seine, invoquant l’AWEN et l’énergie d’Uruz.
Mais d’abord, un pacte avec la Seine. Sigurd ramassa une brindille parmi les coquillages, traça Uruz ( ᚢ ) dans le sable humide. Ses doigts frôlaient la terre froide, une chaleur monta en lui, comme si la rune s’enracinait dans son sang. Les vaguelettes léchèrent le tracé, scellant ce vœu. « C’est ici que tout commence », murmura-t-il, sa voix mêlée au clapotis. La Seine semblait répondre, ses reflets scintillant comme une promesse.
Un craquement de pas interrompit sa transe. Une vieille femme s’approchait, emmitouflée dans un châle gris, un panier d’osier au bras. Ses yeux, bleu pâle comme le fleuve, brillaient d’une lueur amusée. « Tu parles au courant, jeune homme ? » demanda-t-elle, sa voix rauque évoquant les contes nordiques.
Sigurd rougit, serrant les cartes runiques. « Je lui demande de porter un rêve. Un festival pour faire naître les Nouveaux Vikings, poètes-guerriers réenchantant le monde. »
Elle hocha la tête, comme voyant dans son âme. « La Seine a porté bien des rêves. Elle connaît les navigateurs d’antan, ceux qui chantaient pour Freyr avant de brandir l’épée. » Elle glissa une coquille spiralée, presque runique, dans sa main. « Garde-la pour Saint-Mammès. Les bateliers savent des choses. Mais d’abord, passe par Fontaine-le-Port. Cherche la pierre près de l’église Saint-Martin. Elle parle, si tu sais écouter. »
Sa silhouette se fondit dans la brume, comme une Norne tissant son destin. La coquille, tiède, pesait dans sa paume, un talisman du fleuve. Sigurd griffonna un poème scaldique dans son carnet :
Force d’Uruz, dans le sable gravée,
La Seine chante l’hymne des âges passés.
Freyr bénit les flots, sous l’aube dressée,
Guide les Nouveaux Vikings où les scaldes renaissent.
Un doute, froid comme une bourrasque nordique, le traversa. Comment convaincre les habitants de Chartrettes, Bois-le-Roi, ou Saint-Mammès que ce rêve valait la peine ?
Que porter un Grand Rêve dans un XXIe siècle désenchanté, face à des sceptiques comme Erik Gauthier, était vital ? Erik, ancien chef d’entreprise en rénovation énergétique et pêcheur amateur passionné, était candidat à la mairie de Bois-le-Roi en 2026. Climato-alarmiste, il adhérait volontiers, par pur opportunisme, aux discours dominants – changement climatique, restrictions sanitaires, éoliennes etc. – mais ignorait son ascendance viking. Son nom, Erik (« chef éternel », choisi par son père norvégien) et Gauthier (« chef d’armée »), révélait un lointain héritage de guerrier viking. Depuis des années, il organisait des fêtes vikings costumées chez lui, où les adultes jouaient comme des enfants, et planifiait depuis longtemps un grand rêve, organiser une fête viking populaire et mercantile à la base de loisirs qui lui donnerait une popularité susceptible de l’asseoir sur le fauteuil tant désiré, celui de maire de Bois-le-Roi. Sa fête viking ne pouvait être qu’une contrefaçon du FVV, ou une pâle imitation qu’il rejetait comme une « dérive sectaire ». Point de runes ni de poésie bien sûr dans sa fête à lui. Sigurd chassa ce doute inutile de voir son entreprise paralysée par le matérialisme ambiant et les luttes de pouvoir locales. Uruz lui donnait la force ; la prochaine rune, à Fontaine-le-Port, ouvrirait la voie. Il glissa la coquille dans sa poche, passa la mandoline et le bodhrán en bandoulière, rangea les livres de Gravier et Boyer, et prit le sentier vers Fontaine-le-Port, la Seine murmurant la promesse d’une « Nouvelle Route des Vikings » pour un monde meilleur.


Appel à participation

Devenez un Nouveau Viking ! Rejoignez le Festival Viking Voyageur en partageant vos poèmes scaldiques, vos kennings – ces métaphores poétiques nordiques décrivant une réalité par une image évocatrice, comme « chemin des baleines » pour la Seine qui se jette dans la mer ou « souffle de Freyr » pour le vent – inspirés des flots, des runes ou de Freyr, ou vos visions d’un monde réenchanté.
Écrivez un poème pour le Freyrblót, rituel nordique du 1er août honorant Freyr, dieu de la fertilité, avec offrandes et chants célébrant l’abondance et les liens communautaires.
Imaginez un drakkar de carton voguant sur la Seine, dessinez une posture de yoga runique pour les bords de la Seine, ou racontez votre propre étape sur la Nouvelle Route des Vikings. Publiez vos créations avec #NouvelleRouteDesVikings, #FreyrblotViking ou #GrandRêveViking, et intégrez l’odyssée de Sigurd !
Les contributions les plus inspirantes seront mises en lumière dans les épisodes ou interludes suivants, tissant le Grand Rêve collectif. Envoyez vos œuvres via notre formulaire en ligne ou partagez-les sur les réseaux sociaux pour rallier les poètes-guerriers d’aujourd’hui. Lancez-vous, adoptez la Vie King Attitude et faites chanter les flots !
AWEN
S’embarquer d’infini sur les drakkars de vie
Aux soleils du soleil des contrées poétiques
De l’aventure humaine
S’inspirer rajeuni au large de la Vie-
-King Superbe Attitude et franchir les portiques
Au son pur de l’AWEN


Vie-King PoëtiK Balade de Chartrettes à Fontaine-le-Port

Sigurd le Nouveau Trouvère, devenu barde et scalde de la tribu des Nouveaux Vikings, marchait sur le sentier des bords de Seine, la coquille spiralée vibrant dans sa poche comme un talisman. Les vaguelettes clapotaient doucement, scintillant sous le soleil d’août, murmurant des récits anciens à ceux qui savaient écouter les bruissements mystérieux de l’univers. Ce trajet de Chartrettes à Fontaine-le-Port devenait la première Vie-King PoëtiK Balade, où l’AWEN, Grand Souffle de l’Inspiration Poétique de la Superbe Vie – King Attitude, et le yoga runique reliant les énergies cosmiques fusionnaient avec les chants des scaldes. En communion avec Saint-John Perse, guide poétique mystérieux du FVV, Sigurd répéta lentement, tel un mantra viking envoûtant : « Ô Seine, amer des étoiles, guide nos âmes liées. ». Chacun le reprenant en le laissant librement se chevaucher sur les autres, tuilage sonore et profond comme une houle de mers lointaines…. Ô Seine.. Ô Seine…. âmes liées…. liées….
Sur une berge herbue, Sigurd s’arrêta, rejoint par un petit groupe : deux enfants de Chartrettes, aux yeux pétillants, tenant des drakkars en carton, une femme curieuse de Bois-le-Roi, attirée par les rumeurs du Festival Viking Voyageur (FVV), et Astrid, poétesse passionnée par les sagas nordiques, un carnet à la main, captivée par l’élan du moment.
« Suivez le souffle de la Seine », invita Sigurd, adoptant la posture de Laguz ( ᛚ ), rune du flux, les bras tendus devant lui, paumes vers le fleuve, pour capter son courant. « Visualisez la Seine comme un chemin se jetant dans la mer, un ‘chemin des baleines’ portant l’AWEN », enseigna-t-il d’une voix sereine et profonde reflétant la majesté de ce fleuve chargé d’une histoire ancestrale. Puis, il proposa un enchaînement de yoga runique pour nourrir le « Grand Rêve » et rallier les cœurs.
D’abord, Ansuz ( ᚨ ), rune messagère d’une nouvelle vie, ouvrant des connexions inédites pour ceux qui empruntent la Nouvelle Route des Vikings. Sigurd frappa un rythme régulier sur le bodhrán, guidant le groupe dans une psalmodie commune : « AAANNSUUUZ » (prononcé « an » comme âne, « souz »), demandant la clarté pour tisser des liens véritables. Puis, Kenaz ( ᚲ ), rune de la flamme créative, éveillant la liberté de recevoir les dons de la vie et la joie du don sans attache. Ouvrant les bras comme un flambeau dans la nuit des désespérances communes du temps présent, Sigurd enseigna « Sentez une flamme en vous, brûlant tous vos doutes. » Le bodhrán marqua un rythme crescendo, amplifiant l’énergie. Expirant « KEEENAAZ » (« é » comme « été », « a » comme « gaz »), ses élèves improvisés – mais qui pourraient bien aussi entrer pour de bon dans le drakkar solaire de cette route à l’infini – imaginèrent une lumière éclairant leur chemin. Enfin, Wunjo ( ᚹ ), rune de la joie. Debout, le bout des doigts de la main gauche sur le point couronne, Sigurd invita : « Embrassez la communauté des Nouveaux Vikings. » Le tambour ralentit, soutenant le murmure collectif : « WUUUUNJOOOO » (« w » comme « wave », « oun », « yo »), ils visualisèrent une lumière dorée unissant leurs âmes.
Ces runes résonnaient avec une légende locale : au IXe siècle, un camp viking près de la confluence du Loing aurait vu un scalde graver un kenning, « le chant du fleuve, voie des étoiles », liant la Seine à la route préhistorique des Rennes. Mais ce Grand Rêve, porté par la Vie King Attitude, se heurtait à un mur. Dans un XXIe siècle ultra-conformiste, rétif à tout ce qui sort des sentiers battus, la recherche d’autres dimensions et l’innovation artistique étaient taxées de « maladie de l’originalité » au mieux, de folie ou de « dérive sectaire » au pire. Erik Gauthier, ex-chef d’entreprise en rénovation énergétique et pêcheur amateur des bords de Seine, amoureux des voyages mais politicien prudent en campagne pour la mairie, avait planté sa canne à pêche non loin de Pipi Plage pour espionner – n’ayons pas peur des mots ! – cette étrange histoire de FVV qui l’intriguait au plus haut point. Candidat à la mairie de Bois-le-Roi en 2026, Gauthier adhérait aux discours dominants – alarmisme climatique, restrictions sanitaires, éoliennes etc. Son nom, Erik (« chef éternel », choisi par son père norvégien) et Gauthier (« chef d’armée »), trahissait une ascendance viking qu’il ignorait. Depuis des années, il organisait des fêtes vikings costumées chez lui et planifiait une grande fête viking mercantile à la base de loisirs. Le FVV qui, non seulement marchait sur ces plates bandes mais remettait aussi en cause son imaginaire enfantin des Vikings ne pouvait pas exister dans son esprit, rendu si étroit par la politique locale, tout simplement pas exister, et il ferait tout pour le saboter. Une chose que les politiciens locaux savent particulièrement bien faire. Il avait été alerté du départ du FVV le 1er aout 2025 par un courrier privé qui lui avait présenté cette initiative rare et inédite comme une opportunité majeure : un festival capable de raviver les liens entre les peuples d’Europe, en écho à des initiatives inexploitées faute de créativité et de sens du bien commun, comme la Scandibérique, piste cyclable reliant la Scandinavie à l’Espagne via Bois-le-Roi. Le FVV faisait peur, car il brisait le mythe mercantile des pillards à casques à cornes, démenti par les chercheurs révélant des Vikings commerçants et poètes, un alliage incompréhensible de nos jours. Le succès des Vikings historiques ne devait rien au hasard : leur savoir-faire, leur civilisation, avait secoué l’Europe amorphe des IXe et Xe siècles. Les Nouveaux Vikings, via le FVV, pouvaient ainsi dynamiser les villages repliés du pays de Fontainebleau, unissant art, culture, spiritualité, et économie. Oui, spiritualité – mot tabou dans un monde matérialiste niant la vie de l’esprit et plongeant ainsi le XXIe siècle dans un enfer semblant cette fois-ci sans retour.


Balade à vélo sur près de 60 kilomètres, la véloroute européenne suit la Seine et longe le Loing. L’occasion de découvrir le fleuve et ses affluents en traversant un panorama vivifiant, entre forêt classée et espaces naturels préservés. En savoir plus : https://www.fontainebleau-tourisme.com/fr/fiche/5065478/la-scandiberique-sud-seine-et-marne-e28093-de-bois-le-roi-a-souppes-sur-loing/
Sigurd, éternel utopiste porté par l’AWEN, croyait qu’Erik, fasciné par la Seine et ses fêtes vikings costumées, pourrait être touché par cette balade poétique hors du commun. Et si ce voyage, si ancien et si nouveau à la fois, révélait à Erik son ascendance viking, l’appelant à rejoindre les Nouveaux Vikings au lieu de les combattre ? Sigurd mêla ses pensées à un poème scaldique, soutenu par la voix discrète de la mandoline :
Ansuz souffle des flots, l’AWEN appelle,
Kenaz rallume la flamme, l’espoir s’élance.
Wunjo unit les âmes, la balade est belle,
La Vie-King forge le rêve, brise la lance.
À Pipi Plage, le Freyrblót de fin d’été avait allumé une flamme : drakkars de carton, apprentis-poètes sous les tentes, coquillages offerts à Freyr. À Fontaine-le-Port, la Vie-King PoëtiK Balade devrait rallier les cœurs, prouver que le FVV était une initiative exceptionnelle et salutaire. L’église Saint-Martin se profilait au loin, une pierre attendant de parler, selon la prophétie de la vieille femme.
Sigurd pris la tête de la marche, au rythme lent et aquatique de son bodhrán.




CORDES A VIDE I
SOL – RE – SOL – RE
(A dire en faisant sonner chaque corde du grave à l’aigu)
SOLennel Soleil, solitaire encor s’il dort
REveil d’amor épique d’harmonique d’or
SOLution solsticiale à vide éclipse axiale
REminiscence de toute absence azimutale

En route pour Fontaine-le-Port!n

