Anne Borrel « Cher Reynaldo… »

Mallarmé meurt brutalement, à cinquante-six ans, le 9 septembre 1898. Le 23 novembre, celle qui fut le seul amour de sa vie retourne chez son notaire. Devenue « Vve Laurent » à la mort de Jean-Claude Laurent son légitime époux, Anne Rose Suzanne Louviot dite Méry Laurent avait pris en 1891 de premières dispositions modifiées par la suite 1 . L’ultime testament révèlera un coup de théâtre donnant lieu à contestation, procédure, et règlement différé plus de quatre ans pendant lesquels la « Succession Laurent » apparaît de temps à autre dans les journaux. Coup de théâtre : le dernier coup de cœur de l’ancienne belle de l’Empire célébrée par le poète du Faune va, avec l’héritage, à un jeune musicien adulé du Tout-Paris mondain et artiste. Avant de s’éteindre (à cinquante-et-un ans) le 26 novembre 1900, la toujours jeune Méry aura pu jouir des quatre dernières années de son séjour terrestre dans les délices d’un dernier rêve. Reynaldo Hahn, “le Vénézuélien de Paris” 2 , la coqueluche des salonnières, est entré dans sa vie : elle ne l’oubliera pas dans l’autre.

Mallarmé et Hahn, familiers de longue date du cercle très sélect des « Jeudis » d’Alphonse Daudet ne semblent pas communiquer avant 1897 mais un télégramme du 16 mars 1896 3 atteste d’une correspondance entre Reynaldo et Méry. Dans ce message, le jeune homme se réfère à un « depuis que j’ai eu l’honneur de vous connaître »… Il a écrit le premier… Quoi ? Sa lettre « ne méritait pas une telle réponse » proteste-t-il, ébloui par l’envoi de raisins… destinés à son père. Méry croit au pouvoir de ses séductions gourmandes 4 , du goût de celles dont bénéficie Mallarmé. Reynaldo le cite, en une allusion appuyée : c’est le poète qui l’intéresse.

Au nom de mon père, je vous remercie de tout cœur, Madame, aimable Pomone ; il se délecte à sucer la clarté (I) 5 de ces fruits imprévus – et il vous doit un profond plaisir.

Votre lettre est trop charmante ; la mienne ne méritait pas une telle réponse.

(Je ne vous cache pas que j’ai porté une main indiscrète sur ces grappes dorées – et je vous jure qu’elles sont incomparablement savoureuses). Aussi je perds la tête et ne sais plus de quoi vous remercier. Il y en a trop !

(I)STEPHANE MALLARMÉ) Non, la page tirée de Sagesse n’est pas publiée et ne paraîtra qu’avec le reste.

Rien de nouveau à Paris depuis que j’ai eu l’honneur de vous connaître.

[verticalement dans la marge droite] – Avec toute ma reconnaissance. Reynaldo Hahn.

La dame a-t-elle été remerciée avec autant d’effusion des précieux billets qu’elle offre en 96 et 97 ? « Puisque mon petit s’intéresse à tout ce qui vient de Mallarmé, écrit Proust à Reynaldo, je lui dirai… le charme d’un quatrain… tout de circonstance ».

Le rituel cadeau de fête reçu par la belle le 15 août s’est changé – à l’insu du poète – en un présent doublement indiscret car, à l’insu de la destinataire, Reynaldo l’a communiqué à son ami pour explication 6 … Avant de l’introduire dans le salon de Méry, a-t-il médité la conclusion de Proust : « C’est le charme de Mallarmé et le rôle du poète de solemniser la vie… » ? Et le rôle de la « dame en rose 7  » que le poète semble douer, hors du temps, d’une éternelle jeunesse, quel est-il ?

Elle voudrait tant plaire au séduisant compositeur, au brillant causeur dont le charme ténébreux, les yeux de braise, les improvisations étourdissantes, la voix de velours… la captivent chaque jour davantage. La « bonne Méry » ; toujours active, rieuse, gourmande, spirituelle… reçoit et sort beaucoup, encore fêtée, très entourée… « Content que tu t’amuses 8  » se réjouit Mallarmé attentif à son « petit Paon ». Excellente musicienne, elle attire à ses « dimanches » un gratin artiste où adorateurs et « camarades » se mêlent aux amis de son poète qui y croisent bientôt « le petit Hahn » et « le petit Proust ».

Pourquoi Hahn, qui met en musique les vers de la plupart des poètes proches de Mallarmé, n’écrit-il aucune mélodie pour celui qui le fascine, l’attire, mais dont vraiment il ne perce pas « l’obscurité » 9  ?

En avril 1897, Reynaldo annonce un petit concert… Si le Maître pouvait lui donner quelque chose… Le Maître promet. Ce sera le 21, à La Bodinière. Mais le 17, toujours rien. Reynaldo s’inquiète… 10 

Pressé pour livrer le programme à l’imprimeur, j’hésitais sur la manière de nommer la courte introduction que vous avez été assez bon pour me promettre et que lira la charmante Moreno…  je vous supplie de bien vouloir me fixer là-dessus… Depuis que vous m’avez accordé ce que je vous demandais, je suis encore plus épouvanté de mon audace – que je vous suis reconnaissant !

Le texte de Mallarmé – son « Avant-dire » 11 , arrive le 19. Reynaldo répond par retour 12   :

Maître,

Encore un mot de gratitude pour cette page exquise dont je suis si fier ! Du fond du cœur, Merci – !

Comme il y a tout autour de vous des poètes qui attendent, tremblants, les paroles qui émanent de vous, je pense qu’ils ne manqueraient pas d’être heureux de pouvoir entendre celles que v s voulez bien me consacrer […] Je suis, avec une affectueuse reconnaissance, votre respectueux Reynaldo Hahn

Comme chaque année début avril, Méry a pris ses quartiers d’été aux Talus, sa villa du boulevard Lannes ; elle ne se dérange pas le 20 pour rejoindre Mallarmé et Reynaldo qui organisent les détails de l’« heure de musique moderne » du lendemain. Le poète ne peut s’empêcher de le lui reprocher gentiment 13 :

Très vite, Paon, je te tire une mèche pour n’être pas venue à Paris… Quant à Hahn, à qui je viens de rappeler tes billets, tu les avais reçus, sans doute, à ce moment. Je te contemplerai donc au concert, avant lequel je ferai répéter Moreno, pour, peu après la fin, te suivre ou te retrouver.

Ton

SM

Le 21 avril, sur la scène de La Bodinière, Marguerite Moreno prononce les mots du Maître : « …Reynaldo Hahn met en musique, d’après un don, intuitivement, ce qu’il regarde… ». Hormis la « courte introduction », il n’y aura aucune collaboration entre le poète et le musicien.

Pendant cette année 1897, le peu de lettres connues sont celles de Reynaldo, seuls échos des échanges avec Mallarmé et Méry. On y lit l’expression de l’intérêt du jeune homme – non pour la dame, mais pour le Maître.

Peu après l’« Avant-dire », il obtient le quatrain demandé pour son « Album » 14 :

Le pleur qui chante au langage

Du poète, Reynaldo

Hahn tendrement le dégage

Comme en l’allée un jet d’eau.

La curieuse tournure de deux messages semble le signe d’une fréquentation complice. Le 14 décembre, c’est une demande de recommandation précédée d’un rappel sibyllin 15   :

De grâce, rappelez vous que vous m’avez promis quatre vers pour le portrait « semi équestre » de notre amie…

Maître,

Vous pouvez me rendre très heureux en me donnant un mot de recommandation pour Mendès 16 je lui ai parlé une ou deux fois mais il ne fait rien pour moi, et comme je vais peut-être lui demander une grande faveur, je ne voudrais pas qu’il me confondît avec les mille « quémandeurs » qui le harcèlent du matin au ,soir.

Je vous serais profondément reconnaissant de vouloir bien m’accorder deux lignes, sur une carte et croyez que je sais tout le prix de ce que j’ose demander.

Votre respectueux

Reynaldo Hahn

Si le « portrait “semi-équestre” de notre amie » n’a pas été retrouvé, Mallarmé a bien recommandé Reynaldo – mais par un mot du 15 décembre directement envoyé à Mendès 17 . Aussi, en remerciement sans doute, un « petit bleu » du 17 invite à un déjeuner – organisé avec Méry 18  :

Molière fit à Louis l’honneur de s’asseoir à sa table. Mon humilité, si vous consentiez à me faire le même honneur, le rendrait encore plus éclatant, aussi, je me berce de l’espoir que vous voudrez bien venir demain à midi ; (heure fixée par Madame Méry Laurent) tenter avec nous des plats exotiques, au petit restaurant espagnol, sis 12, rue du Helder. – La chère sera peut-être médiocre, mais ma fierté ne le sera pas !…

Votre respectueux

Reynaldo Hahn

Deux lignes sur une carte de visite disent peut-être la vérité d’une relation sincère : « Merci du fond du cœur, Maître, vous êtes toujours bon pour moi ! 19 »…

Mais avant tout cela, Madame Méry Laurent aura – enfin ! – fait son entrée dans le vrai monde, le faubourg Saint-Germain des littérateurs. Sous l’égide invisible de Mallarmé, Reynaldo la fait recevoir chez Daudet ! 20

Chère amie,

Je vous prie de remercier Monsieur Mallarmé de son bon souvenir auquel je suis profondément sensible comme à tout ce qui émane de lui.

L’adresse de Daudet est 41 rue de l’Université.

Á ce soir, ponctuellement.

Votre

Reynaldo H

…………………………………………………………………………………………………………………………..

Pour distraire Madame Laurent après la mort de Mallarmé, Reynaldo l’emmène déjeuner dans le monde…

Ce jour-là, de retour rue de Rome, elle va chercher un mince volume à la reliure verte gravée à son chiffre ; c’était pour sa fête, le « 15 Août 1888 » 21 . Pensive, elle parcourt la première page de son « Album dit de confessions » joyeusement inauguré par ce pauvre Mallarmé. Elle le présente au jeune homme qui, d’une griffe impérieuse, inscrit en haut du dernier feuillet vierge : « 23 octobre novembre 1898 / après le homard de M. Gauteraux 22 ».

Il va ainsi clore le questionnaire de Méry :

– Votre vertu favorite : la générosité en matière d’argent […]

– Votre nourriture et votre boisson favorites : Foie gras. Pommes de terre frites. Bourgogne  […]

– Quelle est votre situation d’esprit actuelle : L’indifférence absolue

– Pour quelle faute avez-vous le plus d’indulgence : Pour les fautes des sens

Un divertissement… Un sourire… Aucun des deux ne veut songer à la matinée où, chez Maître Fauchey, le notaire, Méry a écrit ses dernières volontés. Reynaldo les connaît : il est son cher exécuteur testamentaire à qui elle envoie sa dernière  pensée dans son dernier soupir. Elle lui lègue la moitié de ses avoirs en banque, sa maison complète, son piano d’Erard, toute sa musique et sa correspondance. Elle sait qu’il en fera bon usage car, a-t-elle dit, « il a absolument mes idées ».

Elle a demandé une feuille séparée pour ajouter :

Á R. Hahn

Cher Reynaldo

Je tourne encore cette feuille pour vous remercier de tout ce que vous allez faire – Vous avez compris le grand sentiment que j’ai pour vous, sentiment qui continuera dans l’autre vie

Je vous recommande Elisa tout particulièrement

Je ne veux pas d’ennuis pour elle faites au mieux – la dernière poignée de main est ici

Je vous embrasse

Anne Rose Suzanne Louviot

Vve Laurent

52 rue de Rome

Paris 23 Novembre 1898 23

……………………………………………………………………………………………………………………………..

Le poète et dandy Robert de Montesquiou fut longtemps un amical admirateur de Mallarmé. On sait que Proust prête le personnage de Charlus dans Á la recherche du temps perdu Proust dans son œuvre. Sa verve acérée s’exerçait sur les femmes de son entourage. De nombreuses notes sont consacrées à Méry qu’il a étudiée de près dans son intérieur. Il brossera d’elle un « Portrait satirique », sorte de raccourci biographique destiné à son recueil posthume des Quarante Bergères 24 .

Dans ses Mémoires publiés, il croira résumer la situation : « Mallarmé fut le caniche de ses vieux jours, dont Hahn était, lui, le bichon harmonieux 25 . »

Ainsi, le monde de Méry Laurent et le monde de Proust interfèrent

LE QUESTIONNAIRE DE MÉRY

Dernière page : Reynaldo Hahn

« après le homard de Monsieur

« nourriture préférée : foie gras, pommes de terre frites

En hommage à Jean-Jacques Lefrère.

Anne Borrel

Notes

1 Élisa Sosset, sa femme de chambre, est sa légataire universelle en usufruit aux termes d’un premier testament du 14 octobre 1891 ; tous les tableaux de Manet vont alors à Mallarmé. Un codicille de janvier 1896 lègue la plus grande partie de ses biens à son jeune amant, Edmond Fournier. (Succession Laurent – copie d’après les transcriptions manuscrites; Musée Départemental Stéphane Mallarmé, Valvins).

Cf. http://reynaldo-hahn.net/Html/ecritsdiversMeryLaurent.htm

2 Il est né à Caracas le 9 août 1874. Biographie sur le site http://reynaldo-hahn.net..

3 Inédit. Vente Ader Nordmann – Salle des ventes Favart, jeudi 18 juin 2015. Expert Thierry Bodin. Lot n° 51, cité d’après copie.

4 Cf. Vente d°. Sur les quatre lettres non datées que comporte le lot n° 54, deux font allusion aux échanges gastronomiques des correspondants.

5 Hahn cite L’Après-midi d’un Faune : « Ainsi quand des raisins j’ai sucé la clarté » (Mallarmé, Œuvres complètes I, éd. Bertrand Marchal, Pléiade,

Gallimard, 1998, p. 164, v. 58.)

6 Cf. Marcel Proust, Correspondance, tome II, Plon, 1976, p. 110-113. Le quatrain « Méry, / L’an pareil en sa course… » commenté par Proust dans

une lettre du 28 ou 29 août a été retrouvé dans les papiers de Hahn. En 1897, le quatrain « Août la dore et la duvette… ». offert à Méry le 15 août

est cité par Proust en épigraphe d’une lettre à Madame de Brantes le 1 er septembre 1897 avec la mention « Derniers vers de

Mallarmé »  (Correspondance, tome II, p. 212.)

7 « Mets n’importe quelle robe, tu les rends toutes roses » : Mallarmé, Lettres à Méry Laurent, éd. Bertrand Marchal, Gallimard 1998, p. 42.

8 Id. p. 211-212.

9 Dans La Revue blanche du 15 juillet 1896, Proust publie un article feutré intitulé « Contre l’obscurité ». Mallarmé y répond indirectement le 1 er

septembre dans la même revue avec « Le Mystère dans les lettres ». (Œuvres complètes II, éd. Bertrand Marchal, Pléiade, 2003, p. 229)

10 Mallarmé, Correspondance IX, éd. Henri Mondor et Lloyd James Austin, Gallimard, 1983, p.133-134.

11 Mallarmé, Œuvres complètes II, éd. Bertrand Marchal, Pléiade, Gallimard, 2003, p. 691-692.

12 Chancellerie des universités de Paris, Bibliothèque littéraire Jacques Doucet (BLJD), Cote MVL 3290.

13 Lettres à Méry Laurent, p. 212.

14 Mallarmé, Œuvres complètes I, éd. Bertrand Marchal, Pléiade, Gallimard, 1998, p. 320/28.

15 BLJD, Cote MVL 3292

16 Lié de longue date avec Mallarmé, Catulle Mendès (1841-1909) est alors très influent dans le milieu littéraire et artistique parisien. Auteur d’une œuvre abondante, ses poésies sont mises en musique par Alfred Bruneau, Ignacy Paderewski, Jules Massenet, etc. Pour ce dernier, il écrit plusieurs livrets d’opéra ainsi que pour des compositeurs tels qu’Emmanuel Chabrier, André Messager, Claude Debussy, Charles Lecoq… En 1903, sa Carmélite, comédie musicale en quatre actes et cinq tableaux, est jouée avec une musique de Reynaldo Hahn. Ce dernier compose également la musique de scène pour sa pièce Scarron (1905, Théâtre de la Gaîté-Lyrique). Et c’est encore la musique de Reynaldo Hahn qui accompagne sa Fête chez Thérèse, ballet-pantomime en deux actes (1910).

17 Mallarmé, Correspondance X, Gallimard, 1984, p.58-59 – à Catulle Mendès [15 décembre 1897]: « Cher ami / Vous n’êtes pas sans connaître

Monsieur Reynaldo Hahn et sans avoir entendu de sa musique ou comme il est près des poètes ; voici qu’ayant à vous entretenir il demande que ce

soit sous mes auspices, avec ma présentation et cela nous touche tous les deux, n’est-ce pas ? qu’on recoure à l’un quand il y a lieu d’approcher

l’autre. / Affectueusement /Stéphane Mallarmé

18 Inédit. BLJD Cote MVL 3291

19 Inédit. BLJD Cote MVL 3293 [25 mars 98]

20 Inédit. BLJD, Cote MVL 3289. Billet adressé « bd Lannes », donc pendant le séjour de Méry aux Talus (avril- novembre). Daudet meurt le 16

décembre 1897.

21 Page inédite. BLJD Cote MNR MS 1249/19. La date raturée est surchargée.

22 [Sic] Lire « Ganderax ». Louis Ganderax  (1855-1941), le redoutable directeur de la Revue de Paris .

23 Cf. note 1 et http://reynaldo-hahn.net/Html/ecritsdiversMeryLaurent.htm (texte du testament du 23 novembre 1898).

24 BnF, Fonds Montesquiou, NAF 15271, F° 109 /Laurence. / (Madame Méry-Laurent.) / Portrait satirique / Extrait des « Quarante Bergères ».*

« Mallarmé l’adora », Robert de Montesquiou, Notes et Réflexions inédites, 2 ème Recueil. – Les Dessous. / Extrait des « Quarante Bergères ».  682.

– *4 e Série. – N° 36.

On y lit :

« Cocotte impériale […]

– Manet l’eut pour modèle et l’admirait assez

Pour qu’on puisse meubler, de ses portraits, vingt tentes.

– Mallarmé l’adora ; mais elle aimait les tantes 24

Au point qu’elle fit choix, de l’une d’elles, pour

Lui laisser tout le bien qui venait de l’amour. »

25 Robert de Montesquiou, Les Pas effacés, tome II, Émile Paul, 1923, p. 175.

ABRÉVIATIONS

Corr. : Marcel Proust, Correspondance, édition établie et annotée par Philip Kolb, Paris, Plon, 21 volumes, 1970-1993.

CSB : Marcel Proust, Contre Sainte-Beuve dans Contre Sainte-Beuve, précédé de Pastiches et mélanges et suivi de Essais et articles, édition établie par Pierre

Clarac avec la collaboration d’Yves Sandre, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1971.

EA : Essais et articles (pp. 313 – 677 de CSB) PM : Pastiches et mélanges (pp. 1 – 207 de CSB) JS : Marcel Proust, Jean Santeuil, précédé de Les

Plaisirs et les jours, éditions établie par Pierre Clarac avec la collaboration d’Yves Sandre, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1971.

PJ : Les Plaisirs et les jours (pp. 1 – 178 de JS)

I, II, III, IV : Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, édition établie sous la direction de Jean-Yves Tadié, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la

Pléiade »,1987-1989, 4 volumes .En italiques, le tome suivi, en chiffres romains, de la pagination.

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